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l'histoire d'un nain

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Kardel:
C’est par une nuit d’orage que Olfi mis au monde son enfant. Avec son mari, Varek, la mère ne savais pas comment nommé ce nouvel arrivant. C’est un grand oncle, du coté de la sœur de Olfi, qui leur proposa le nom de Kardel. Il disait toujours que ce nom avait un consonance rocailleuse et héroïque. Les parents du nouveau né acceptèrent se nom, Kardel, et espérèrent un avenir plus que glorieux. Et il ne furent pas déçus, dés ces plus jeunes âge il commença à imité son père entrain de s’entraîner au combat, plus tard, ayant atteint son 6° printemps, il jouait avec les outils de son père qui n’étaient autres qu’une pioche et un marteau de forgeron. Ces parents le voyant faire vu en lui un repreneur certain du flambeau que portait ces derniers. Alors que ses 16° printemps venait d’être fêté, son père lui dit :

« Viens mon fils, étant devenu grand je peux t’initier !
- Mais m’initier à quoi, père ?
- Aux arts de la guerre, vois tu nous somme tous de grand guerrier dans la famille et tu la remarquer. C’est pourquoi aujourd’hui, je vais t’apprendre à te défendre face à un ennemis.
- Whoua ! c’est vrai ? je vais vraiment manier une arme comme toi ?
- Ha ha ha ! tu es bien précoce mon petit, commençons tout d’abord par le couteau ! Après seulement une fois plus âgé, tu pourras peux être t’initier aux arts du champion et manié de vrais haches !

Durant les journées qui suivirent, Kardel est son père s’entraînèrent tout deux a leur arme. Puis un jour ce qui devait arrivé, arriva. La guerre était proche Varek fut recruté dans l’armée des peuples libre pour se dressé une nouvelle fois face aux armées de Sauron. Avant de partir Varek s’entretint avec son fils :

- Il est tant de te la légué, mon fils, voici la hache des XXXXX.
- Quoi ? mais sa veux dire quoi ?
- Ha Ha ! pourquoi XXXXX, car cela fais maintenant 500 ans que nous la transmettons de père en fils. Un jour viendra, j’espère, ou toi et tes enfant n’auront pas à l’utiliser.

Et sur c’est mon Varek se retourna et parti. Accompagner d’autres nain, le père s’éloigna sans se retourné, il savais que s’il le faisait, il ne pourraient pas les quitté. Kardel, la hache toujours à la main, le regarda avec sa mère pendant très longtemps, jusque la nuit vint.
Au lendemain, Kardel parti pour la grande cité de Thorin. C’est la que sa mère lui dit de se perfectionné, il chercha maintenant un instructeur digne de lui apprendre tout son savoir et pouvoir lui transmettre son art meurtrier.

Glawdys:
Sympathique biographie  :)

Kardel:
Après de longues heures de marche, Kardel arriva sur une place enneigé. Il se trouvait sur dans la vallée de Thorin, il connaissait bien cette région. Il y avait passé toute son enfance, il se revoyait courir avec ses amis faisant la course jusqu'au lac pour plonger la tête la première. A ses évocations il repensa à son père qui était toujours avec lui, et il le revit partir au loin à travers la nuit.

Le brouhaha ambiant le tira de sa rêverie, il y avait tellement de vie sur cette place. Il continua de regarder aux alentours et il vit l’immense palais de Thorin, il vit d’abord le grand escalier qu’il devait monter pour pouvoir entrer dans le gigantesque édifice.
Il entama donc son ascension d’un pas ferme et résolu. En montant les marches, Kardel découvrit le palais, un endroit que, si vous n’êtes pas un ami des nains, vous ne pourrez rentrer. Le palais était entièrement bâtit dans la montagne qui le protégeait des attaques d’une quelconque nature. Et si le milieu ne retenait pas les ennemis, des nains en armures et toujours près à en découdre attendait qu’un geste soit fait, qu’un ordre soit dit, et il fonderait sur les envahisseurs.

C’est alors qu’il arriva en haut de l’imposant escalier et en voyant le palais ainsi que ces lourdes portes, il se sentait vraiment petit et si jeune, si inexpérimenté. Le bâtiment reflétait un âge ancien, il ne savait pas depuis combien de temps le palais avait été construit. On pouvait voir des runes gravé sur tout le tour des portes en même en certain endroit sur le palais. Il était tellement subjugué par cette magnificence qu’il fallut qu’un passant le bouscule pour qu’il revienne sur terre.

Il se décida enfin à franchir ces énormes portes et trouver quelqu’un qui pourrait l’aider. Mais il était encore jeune et ne savait pas si on allait l’écouter comme un grand. Une fois entré, il put voir l’intérieur. L’extérieur était immense mais alors à l’intérieur, on dirait que c’était encore plus grand. Partout où son regard portait, il y avait de l’activité, des marchants d’armes, d’armures, des cuisiniers, des bardes et tout autres sortes de vendeur. Kardel s’avança dans le hall, il pouvait voir dans un coin des banquiers prenant et donnant quelques pièces aux nains présents devants eux. Il continua de marcher et vit à droite une sorte de four. Une forge, se dit-il, plusieurs artisans travaillaient avec des outils tous différant. Il arriva face à un nouvel escalier et savait très bien où il menait.

Kardel:
Le Roi Dwalin vit se nouvel arrivant monté les marches et dit à ses gardes de le laisser passer.

- Salut à toi, mon frère, que puis-je faire pour toi ?
- Salutation Roi Dwalin ! Je me nomme Kardel et je veux m’enrôler dans vôtre armée.

Le Roi le regarda de la tête aux pieds sans rien dire. Kardel sentit qu’il devait faire bonne impression et se redressât de toute sa petite hauteur.

- Hum… tu m’as l’air jeune pour vouloir rejoindre l’armée. Mais c’est inévitable, la guerre est partout et nous avons besoin de nouvelles recrus ! Je te propose d’aller voir nôtre maître d’arme qui te donnera des conseils.

A ses mots, Kardel s’inclina respectueusement et se retourna

- Attend Kardel ! Puis-je te poser une question ?
- Oui Roi Dwalin, répondit-il.
- Pourquoi veux nous rejoindre dans la guerre ?
- Mon père a été recruté car l’armée avait besoin de monde. Maintenant je veux aider mon peuple et défendre cette terre qui m’est si chère. Aussi je veux retrouver mon père !
- Si je peux te donner un conseil, tu n’es pas seul, trouve d’autres personnes qui pourront t’aider aussi.
- Merci Roi Dwalin.

Kardel descendit les marches et entendit avant de voir les salles d’entrainement. Il y avait plusieurs nains certains combattaient avec des haches, d’autres avec des épées ou encore des marteaux. Il y avait une salle réservé au combat singulier avec des bâtons représentant les armes. Dans les coins des instructeurs criaient des ordres aux nouvelles recrues. Kardel s’approcha d’un instructeur qui le regarda venir en sa direction et lui dit à son arriver.


- Qu’est c’tu veux ?
- Un instructeur pour rentrer dans l’armée.
- Ok, viens par là.

L’instructeur précéda Kardel dans une petite salle. Un autre nain était assit fumant une pipe aussi vielle que lui. A leur arriver, il se retourna pour contempler les deux intrus qui avaient osé le déranger.

- Maître, voici un jeune qui veut suivre un entrainement pour rentrer au service du Roi Dwalin.
- Hum…, se contenta de répondre le vieux nain. Eh ben quoi, qu’attend-tu ? S’il veut de l’entrainement  ne le fait pas attendre ! C’est la guerre bon sang …

L’instructeur se retourna face à Kardel et lui fit signe de venir. Ils sortirent de la pièce dans laquelle on entendait le vieux nain marmonner sur tout est n’importe quoi. Le nain lui tendit une hache et désigna l’épouvantail en face.


- J’suppose que tu sais c’qui te reste à faire ! Allez frappe.

Kardel s’exécuta et trancha net l’épouvantail.

- Oh ! Bravo je m’attendais à pire en t’voyant, lui dit le nain. Mais i’ faut croire que ce n’est pas la première fois que tu tiens sa.

Il emmena Kardel dans la salle d’entrainement pour les combats singuliers. Il prit son manche et frappa sur le sol. Le bruit résonna dans toute la pièce et les combattants s’arrêtèrent pour se ranger en ligne.

- Choisi l’un d’eux et mont’ moi s’que tu sais faire face à quelqu’un de vivant.

Kardel parcouru l’assemblée d’un regard, tous les nains présents étaient beaucoup plus fort que lui, il allait devoir usé d’un tactique pour vaincre son adversaire. Un nain s’avança et dit :

- Ch’ré ton adversaire !

A ses mots tout le monde recula rapidement pour laisser place à l’affrontement. Le nain qui l’avait défié avait une carrure beaucoup plus importante que lui. Il avait des tatouages sur tout sous corps. Vraiment comment vais-je m’en sortir ?, se dit-il au fond de lui-même.
Le premier coup arriva à une telle vitesse et surtout sans crier garde, mais Kardel avait prévu l’attaque et se jeta à plat ventre et roula sur le coté pour tenté une attaque visant le genou. Lorsque l’attaque toucha derrière le genou, un bruit sourd se fit entendre et le nain tomba littéralement à quatre pates. Kardel se releva aussitôt et leva son bâton au-dessus de sa tête pour l’abaisser sur la tête du nain par terre, il y mit tout son poids et quelques nains furent surpris de voir qu’il allait le tuer. Mais avant que le bâton toucha la tête, Kardel arrêta son geste pour finalement lui donner juste de quoi lui faire une petite bosse et l’assommé.

- Pourquoi avoir retenu ton coup ! Brailla l’instructeur.
- Il ne mérite pas de mourir !
- Quoi qu’il en soit tu as fait preuve d’une résolution extraordinaire, s’exclama un nain, et tu nous as montré que lorsque la force n’est pas égal, on doit utiliser sa tête pour surprendre son adversaire.

A ses mots, tous les nains s’inclinèrent devant le Roi Dwalin qui entrait dans la pièce.

- J’ai assisté à ton affrontement et je souhaite te félicité.
- Merci Roi Dwalin, répondit Kardel.
- Va à Gondamon, là bas tu trouveras ce que tu cherche.
- Merci Roi  Dwalin.
- Va vite et puisse les dieux te protégé durant ta quête, dit le roi en faisant le signe de la bénédiction sur le front de Kardel.

Faisant une révérence devant le roi. Kardel sortit de la pièce et se dirigea vers les grandes portes du palais. Une fois dehors, une vague de froid l’accueillit. Il commença à descendre le grand escalier et pris la direction de Gondamon.

Kardel:

--- Citation de: Glawdys le 14 août 2009, 11:35:19 ---Sympathique biographie  :)

--- Fin de citation ---

merci sa fait que de commencer ^^

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