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Auteur Sujet: Toutes les biographies - les débuts  (Lu 5309 fois)

shalana

  • Invité
Toutes les biographies - les débuts
« le: 17 août 2007, 15:08:57 »
Voilà, j'ai réuni toutes les histoires montées pour les candidatures. C'est assez amusant de relire. Je n'ai gardé que les membres qui sont en jeu et qui font partie de la Confrérie.
Bonne lecture (Signalez-moi les oublis)
_____________________________ _____________


Les candidatures – Recueil.


Naesse :

Cherchant son chemin parmi le dédale des ruelles, alors que la nuit commençait à obscurcir la cité,
Knut restait pensif...

- Il doit bien y avoir un indice de leur présence quelque part, se dit-il, se maudissant de ne pas
avoir de plus amples renseignements.

L'errance du jeune homme fut soudainement interrompue par une esclaffade provenant d'un bâtiment qu'il n'avait pas remarqué jusqu'ici.
Il s'en approcha discrètement.

Son attention se focalisa alors sur un parchemin qui était placardé sur le mur extérieur :

 

Sa première réaction fut euphorique, mais un doute lui vient rapidement en tête :

-"une vie faite de gloire et de quête d'honneur"...Serais-ce une succursale de la milice locale pour employer ce genre de propos pompeux afin de recruter? Je ferais bien de cacher mes petits antécédents plus ou moins légaux avant d'être sûr de leurs identités.

Il décida malgré tout d'entrer dans le bâtiment, prêt à rencontrer enfin les membres de cette confrérie.


Celael
Celael regarde à nouveau le bout de papier ou Alvirulan a griffonné l'adresse ou elle se trouve. D'une main hésitante elle pousse doucement la porte...

*Bruits de taverne bien remplie*

... pour la refermer aussi sec, légèrement angoissée.

Oulalalalala, il y a beaucoup plus de monde que chez maitre Elrond...Et puis je connais personne...Et si je rencontre quelqu'un qui n'aime pas les elfes...et qui veut me taper....ou pire qui va m'enlever et demander une rançon à ma famille, qui sera obligée de travailler encore plus et de se saigner au quatre veines pour me sortir de ce mauvais pas ! Grande Elbereth ! Si ça se trouve il y a un bellâtre qui va tenter de me charmer et va me proposer un verre...et il y aura de la drogue dans ce verre, et le pire va m'arriver ! Et si quelqu'un me vole mon beau chapeau tout neuf... comment le dire à maitre Elrond que les sous qu'il m'a gracieusement donné pour acheter quelques vivres ont disparu pour un chapeau qui lui aussi a disparu. Oh nonononon, je ne rentre pas, c'est beaucoup trop risqué !

- "Dites donc ma petite demoiselle, vous êtes bien gentille de rester devant la porte comme ça, mais yen a qui voudrait rentrer voyez...

-Kyaa !!! Oh...euh...en fait euh...désolée...je..enfin...vous voyez...c'est à dire...

-Bon elle rentre ou elle se pousse? Spa qu'elle m'gène, mais j'ai pas appris à passer à travers les gens voyez!

-*angoisse* je...rentre...d'accord!"

Et c'est les jambes tremblotantes et l'air un peu paniqué qu'elle entre dans la taverne. Scrutant à tout va elle cherche désespérément un visage connu Alvirulan, Titam, ou Garton.


Gahia
« « La porte s’ouvre légèrement et une ombre frêle et hésitante se penche maladroitement. Au sommet de cette apparition quasi fantomatique se distingue une tête recouverte du protecteur de Iornaith, bonnet prestigieux reconnaissable immédiatement  à sa silhouette caractéristique.
Seules deux oreilles pointues semblent vouloir s’échapper du couvre-chef. » »

Bon… bonjour

« « la voix douce qui venait de se faire à peine entendre était sans aucun doute féminine. Il était même évident qu’elle appartenait à une petite fille, ou tout du moins à une toute jeune femme.
Visiblement cette entrée en matière n’avait pas captée l’attention de l’auditoire, et la jeune Elfe se hasarda à une nouvelle tentative. » »

Bonjour… heu… je m’appelle Gahia. J’ai vu un parchemin affiché dans le ville voisine et j’ai vu que vous y aviez laisser l’adresse de cette… ce…  *regardant autour d’elle comme pour en définir le terme exact* Taverne ? Manoir ? Abbaye ?… enfin ici quoi.

« « Visiblement l’entrée quelque peu timide de la jeune femme laissa la collégiale perplexe. L’un des nains qui été accoudé à l’un des comptoirs et en grande discussion philosophico-alcoolique sur la véritable origine de la bière naine, regardait l’elfette d’un œil amusé et lui fît d’un signe sec de la main de s’approcher » »

Alors jeune fille, que viens tu faire dans notre cercle ? N’as-tu donc pas école à cette heure ci de la journée ? Allons bon, si les gamins s’invitent ici maintenant ou allons nous ! Tiens prends ce verre de lait et retourne vite chez tes parents ma pauvre petite… HAHAHAHAH !

« « La peau extrêmement blanche de l’elfe faisait ressortir la rougeur de ses pommettes. Visiblement dans une colère à peine contenue, la jeune femme jeta le verre de lait tendu par le nain, puis lui arracha des mains la pinte qu’il avait à peine entamée et la but d’un trait. Reposant ainsi la pinte vide sur le comptoir, et approchant son visage a une distance de deux demi mains du visage du nain comme pour le provoquer, elle dit toujours avec sa voix douce mais cette fois sur un ton nettement plus ferme et direct : »

Sachez que je ne suis plus une gamine et que j’ai battue nombre de nains et autres mâles de tous ages et de toutes espèces à ce petit jeu…

« « A la fois surpris par l’aplomb de la frelaite et amusé, le nain se resservit de son nectar préféré, mais cette fois mit le verre à bonne distance en sécurité » »

Oh Là  ma jeunette ! Ne t’énerve pas… tiens assieds toi ici qu’on cause 2 minute.

« « La jeune fille s’exécuta sans des faire prier et enleva son couvre-chef dévoilant ainsi une large chevelure toute elfique qui visiblement ne laissait pas indifférent les mâles qui s’en à présent agglutinés autour d’elle » »

Bien, dit le barbu, d’abord comment s’appelle cette jolie poupée ?

JE NE SUIS PAS UNE POUPEE !! Hurla-t-elle en réponse.

Houlalalalala… ça va ça va… au moins tu as du caractère toi. Bon ok continuons, alors ton nom ?

Je vous l’ai déjà dit si vous écoutiez ! Je m’appelle Gahia, Gahia de Fondcombe.

De Fondcombe, vraiment ? Bizarre, je connaîs cette ville Elfe et jamais entendu parler d’une Gahia moi… enfin bon. Et tu fais quoi dans la vie… apparemment tu es plus âgée que tu ne le parait.

Et bien je suis…

« la jeune femme avait baissée la tête à la question, comme honteuse. Elle hésita quelques secondes puis reprit »

… je suis fermière. Mais mais mais… mais j’étudie l’histoire et les sciences. Bientôt je serai parmi les plus érudites des Terres du Milieu, ça je le jure !

« Le nain évita un éclat de rire de justesse en se remémorant les réactions épidermiques de la jeune femme »

Fermière et scientifique ? Tiens donc, avec une telle spécialité tu devrais nous inventer une nouvelle recette de bière !

« Là, il ne put s’empêcher d’éclater de rire au grand désespoir de l’Elfe »

Bon, bon je te promet rien ma petite… pardon Gahia de Fondcombe. Mais je soumettrai ta requête au conseil. Ah et au fait tu as lu les règles de la confrérie ?

Oui sir, bien sûr !

Et… tu es d’accord avec ces règles ?

Absolument !

Bon, fort bien. Va t’asseoir la bas *montrant une petite table au fond de la pièce*, on t’appellera plus tard.

« « Et le nain reprenant sa bière d’une main continua sa discussion endiablée avec son collègue » »


Enudès
Voila... c'est parti... voici la vie D'Enudes Patronicus, officier de la garde.
Troisième fils d'une fratrie de quatre enfants, je devais par ma naissance occuper le rang de celui qui seconde l'aîné dans les cultures des terres familiales. Une soeur de deux ans plus petite fermait la marche. Mais lorsque mon cadet mourrut subitement d'une maladie pulmonaire, mes parents me réservèrent son destin : l'armée ou la religion. je décidais de prendre une formation militaire et ma famille m'intronisa dans les troupes cavalières du Rohan... j'y suivi un entrainement martial et devint capitaine d'une petite section mais mon destin m'emmena sur les terres de la comté après qu'une partie de chasse se soit transformée en carnage. Je suis donc le seul de ma patrouille, errant en quête de retrouver mon honneur perdu à la bataille. Je n'ose revenir et annoncer au roi mon échec... mais je reviendrai en héros.


Corrigan
Corrigan, ainsi me nomme-t-on.
Je suis né en l’année 2978 à Dale, une belle cité peuplée d’Hommes, riche et florissante, bâtie au Troisième Âge au pied d’Erebor et à la lisière de la Forêt Noire.

De père bûcheron et de mère tisserande, je ne me destinais pas à la carrière de guerrier qui fut mienne mais la vie en a voulu ainsi. En effet, remarquant le jeune homme musclé que les durs travaux des bois et le maniement de la hache avaient modelé, le capitaine de la garde de Dale m’a fort justement fait l’offre d’intégrer sa compagnie. Un homme habile et à l’esprit aiguisé, je le sus par la suite, apte à déceler les qualités insoupçonnées dans la nature humaine.
C’est ainsi que plusieurs décennies durant j’assurai avec mes compagnons d’arme la surveillance et la défense de la Cité. Par maintes occasions je dus prendre les armes et repousser à la limite de nos forces les belliqueux agresseurs – orques pour la plupart provenant de Bolg mais aussi de Rhûn.
A force de bravoure et de loyauté, durant ces longues années, vis-à-vis du Capitaine et des braves habitants de Dale, je fus élevé au grade de Gardien, grade que j’occupe encore à ce jour.
Je fis ainsi ma vie à Dale, coulant des jours que j’aspirais paisibles mais trop souvent ponctués comme je l’ai dit de troubles périodes.
Je pris femme voilà 2 décennies, et de cette union 3 enfants naquirent, descendance dont je suis fier, 3 beaux gars. Ganadriel mon épouse trouva la mort en mettant mon dernier fils au monde et j’en fus bien évidemment fort peiné.. De telles épreuves cependant trempent les caractères des hommes. Ma douce avait tant soigné de mes blessures et de mes afflictions tant guéri …
Les années à Dale ont passé, mon premier fils a repris comme il se devait la ferme familiale, mon second m’a rejoint dans la compagnie d’armes et c’est à en raison du dernier que j’ai du voyager et quitter cette ville qui nous a vu naître les miens et votre serviteur.
Non que je lui en veuille, loin s’en faut ! Mais Corridel est avec le temps devenu un marchand avisé. Parcourant les routes pour assurer son commerce, mais néanmoins redoutant attaques de voleurs de grands chemins et dévoiements d’orques maudits il a fini par me demander un beau jour d’automne d’assurer sa protection durant ses voyages futurs.
Plus rien ne me retenant à Dale j’ai accepté de le suivre et d’assurer la protection de la chair de ma chair.
Son dernier long voyage nous a poussé ainsi à travers la Grande Forêt Noire, en suivant la Vieille Route Men I Naugrim où nous avons dû affronter quelques assauts de brigands, puis traversé les Monts Brumeux, non loin de la Cité des Gobelins, le Gué de Bruinen pour fouler finalement la Grande Route de l’Est et parvenir enfin à Bree, notre destination.
Corridel avait entendu dire par d’autres marchands de sa Confrérie que les affaires à Bree se révélaient excellentes si peu qu’on soit habile, aussi dus-je le suivre et le défendre durant tout ce périple. Périple sans commune mesure comparé à celui de messire Frodon mais qui nous prit cependant 2 bons mois de trajet !
Parvenus mon fils et moi-même à Bree, cette cité me ravit aussitôt ! Tant et si bien que je décidai d’y demeurer. Corridel finit quelque temps après par y ouvrir un négoce et me proposa de m’associer à son affaire. Je dus décliner l’offre car je suis homme d’armes et non point avisé au négoce.
Cherchant un travail plus adéquat à mes aptitudes, je remarquai voilà quelques jours une grande affiche soigneusement placardée sur la porte du « Poney Fringant »  l’Auberge de Bree. Me rapprochant je lus : «  La Confrérie Cercle de l’Eveil recrute actuellement tout homme ou femme de bonne volonté dans le but d’accroître ses effectifs en qualité de Chasseur, Ménestrel, Maître du Savoir, … » Mes yeux parcoururent rapidement l’affiche et se fixèrent sur le métier de Gardien.. Métier pour lequel j’avais consacré toute ma vie, ma sueur et tant de mon sang !
Je me grattai le menton en réfléchissant car finalement cette offre tombait à point nommé.
Voilà en effet 6 mois que je déambulais à Bree, suffisamment de temps pour m’apercevoir que les effectifs de la compagnie de Gardes étaient au complet et qu’aucun poste en rapport avec mes compétences ne m’était proposé ( chose étrange s’il en est, dans la période trouble où nous vivons, avec ces sombres troupes sauvages qui rôdent aux abords des bourgs et des villages !)
Je décidai d’en savoir un peu plus et relus entièrement la grande affiche qui décrivait en termes plus petits la Charte de la Confrérie, approuvant en mon for intérieur tous les articles y figurant…
M’enquérant auprès de PoiredeBeurré l’Aubergiste, ce brave homme aux joues roses me fit savoir que les bureaux de recrutement du Cercle de l’Eveil se situaient à Bree même, juste au coin de cette rue !
Me voici donc devant vous, Notables de la Confrérie pour vous officiellement présenter ma candidature en qualité de Gardien.
Résidant à Bree en ce moment comme je vous l’ai appris lors de cette succincte présentation de ma vie, et étant actuellement du petit 11è grade. Je me prédispose aux artisanats de prospecteur et de forestier, parcourir la campagne et en extraire les dives ressources : métiers les plus proches de mes aspirations à la vie au grand air.


Didax

   Accroupi sous un vieux chêne, les yeux rivés sur le sol, un jeune elfe s'efforcait de reprendre ses forces malgré le vent et la pluie incessante qui le balayaient de part et d'autre. Le bruit continu des feuilles s'entrechoquant, melées à la puissance des rafales de vent sur les rochers avoisinants, empéchait l'elfe de repérer les dangers potentiels des alentours.
Résolu à s'en remettre au destin, il plaça sa tête entre ses jambes se remémorant les évènements de ces dernières heures. Ce n'était pas tellement ses derniers combats contre les différentes créatures qu'il avait rencontré durant l'ascension de la colline qui le préoccupait, ni même ces derniers mois passés dans la région de Thorin, mais plutot le quand et le comment il s'était réveillé, une nuit, allongé sur le sable, le corps balayé par les vagues qui s'écrasaient sur une plage inconnue à ses yeux.
Il avait beau essayer chaque jours de se remémorer son passé, tout ce dont il se rappelait, c'était des images où il voyait ses parents agonisants aux pieds d'un cavalier noir qui s'apprétait à leurs donner le coup de grace, tandis que lui s'éloignait d'eux, enmené de force vers un bateau qui s'apprétait à fuir les flammes et les combats qui faisaient rage.
   Tandis qu'il ressortait progressivement des ses pensées, le jeune elfe remarqua que le vent et la pluie avaient presque cessés. Le regard triste mais déterminé, il se releva et reprit sa route en direction des terres dans l'espoir de trouver un endroit où se reposer.
Durant des heures, il marcha, traversant prés et forêts, en combattant quelques loups et ours qui le menacait, jusqu'à ce qu'il rejoignît enfin une route menant à un croisement un peu plus loin.
Arrivé au carrefour, un gros nain barbu, la harpe à la main, le surprit :
-" Hola jeune elfe ! tu as l'air épuisé ! Par Thorin, tu t'es battu ?! "
le jeune elfe sursauta un instant avant de se détendre à la vue du nain.
-" Bonjour, oui en effet j'ai du combattre ces dernières heures et je suis épuisé. J'ai du affronté en chemin un orage, en prime. "
Sur ces mots, le nain prit sa harpe, et joua une petite mélodie qui procura une étrange sensation de bien être sur l'elfe.
-" Je ne sais comment vous remercier, noble ménestrel "
-" Appelle moi Pic, et enchanté de pouvoir t'aider. "
-" Didax, honoré de te connaître. "
-" Eh bien cher Didax, tu à l'air perdu, tu cherches à rejoindre un endroit ?"
-" Disons que je n'ai pas mangé depuis un moment ... " répondit le jeune elfe
-" Alors suis moi si tu le veux bien, je connais un endroit où tu pourras manger et te reposer ! "
Sur ces mots, le nain prit ses affaires et se mit en marche suivi de l'elfe qui, tout en souriant, répondit :
-" Merci beaucoup Pic. "
et tout en regardant le sac du nain, Didax rajouta :
-" je vois que vous travaillez le bois ? "
-" En effet Didax, je finissais de ranger ma récolte lorsque je t'ai aperçu. On peux dire que c'est un curieux hasard. Je ne rencontre jamais personne dans ce coin ! "
   Apres une petite heure de marche, les deux individus atteignirent une auberge qui aurait pu être un palais si l'on ne s'en tenait qu'à la taille du bâtiment. En grand était gravé les mots tels une pancarte :
         Le Cercle de L'éveil


Quetch
Quetch avait toujours vécu dans le pays de Bree paisiblement jusqu’aux attaques des brigands du plateau noire.

Les pillages et les meurtres avaient conduit la population à ce regrouper et à ce défendre. Je n’étais pas une guerrière et me destinait à la menuiserie mais je n’ai pas hésité à prendre les armes pour défendre ma ville, sa région et ce qui en avait besoin. Je ne rechignais pas à aider ceux qui me le demandait et même les autres.

C’est ainsi qu’au détour d’une ruine infesté d’araignée, je fîs la connaissance de Celael puis avons chacune repris nos routes. C’est hier soir, que nous nous sommes retrouvé au poney fringant, Celael me parla de sa confrérie, après de longues heures et quelques pintes, Celael me proposa de me présenter à vous et de postuler.

Après une longue nuit de repos bien mérité, je viens aujourd’hui vers vous puisque vous représentez ce que je recherche dans une confrérie, c'est à dire l'entre-aide et la fraternité.



Asesdor
Une nuit, au beau milieu du marais de l'eau aux cousins, non loin de Staddel, Asesdor rumine. Il faut dire qu'à cette heure, il est fatigué.
Asesdor : "Halala tous ces sorts que j'aspire à maitriser, il y en a tant..... Vais-je un jour savoir contrôler les éléments ? De toute façon, à quoi bon.... seul."
Natulci : "Croooaaa   Croooaaa"
Asesdor : "Ho, je t'ai oublié mon fidéle serviteur,  heureusement que tu es là toi. J'ai froid, j'ai faim, rentrons à Bree, une petite pinte de fierté de ce brave Prosper me réconfortera"

Il se sent seul notre héros, tant de choses à apprendre, tant de mystéres à découvrir. Il se dit aussi que son expérience, aussi modeste soit-elle, pourrait servir quelques compagnons.

Asesdor : "Nous n'avons qu'une relique Natulci, quand vais-je pouvoir faire ces deux parchemins promis ?"

Notre "héros" est historien, une longue tâche l'attend, l'écriture de parchemins demandera beaucoup de patience à notre apprentis maître du savoir, il n'en manque pas, c'est là une de ses principales qualités.

Sur le chemin du retour, il entend une mélodie jouée sur un luth, attiré par la musique, il s'en approche....

Asesdor : "Ha bonsoir Fayt, tu m'accompagnes ? je m'en vais me reposer à l'auberge du Poney Fringant"
Fayt : "Allons y, cela tombe bien j'ai quelque chose de trés important à te dire"

Notre magicien connait Fayt le Menestrel depuis toujours, ce dernier a commencé l'aventure en même temps, cherchant aussi ce qu'il est arrivé à Amdir.....

Bien au chaud, partageant une pinte, les deux aventuriers s'échangent quelques informations, Fayt se met à parler d'une rencontre.

Fayt : "Vous voyez Asesdor, j'ai rencontré un compagnon membre de la Confrérie du Cercle de l'Eveil, j'ai bien l'intention de tenter d'entrer parmis eux, souhaitez vous m'accompagner dans cette démarche ?"
Asesdor : "La demande d'adhésion à une confrérie doit être réfléchie, si vous avez fait connaissance, moi pas, je vais d'abord m'informer sur eux"

L'apprenti Maître du Savoir, au fond de lui même, espére pouvoir trouver des amis au sein d'une confrérie et partager avec eux ces moments uniques que seul l'aventurier peut connaître.


Camear
Camear , tel est mon patronime. Que dire de ma vie si ce n'est qu'elle est des plus simple. De villages en villes de Bree , je passe et je chante. Apportant bonne humeur et confort.
Je fais un réve , ou un cauchemar , je ne saurais encore en juger , depuis que le temps me permet de m'en souvenir. Laissez moi vous le conter. Voici donc ce que me souffle cette voix .

Je suis le noir , le sombre , collé a toi mon ombre. Je suis l'aboutissement de ta vie. La fin , le trou de ta tombe. Je suis ton pire ennemi , le cauchemar de ta vie , le temps qui passe et qui sourit devant ton agonie. En fait, le but de ma quète est de créer des tempètes. Dans les profondeurs de ton ètre , je suis ton maitre , le seul prophète. Viens lire dans mes tablettes. Tu seras mon adepte , alors accepte , et devant moi baisse la tète. Je suis un Dieu qui dort dans les catacombes. Mon réveil sera furieux , tu verras comme je suis immonde. Alors ne perds pas ton temps. Va mon enfant , du pouvoir des ombres rejoint les rangs.

Ceci est le récit que chaque nuit j'entend. A qui s'adresse t'il ? de qui s'agit il ?
De le découvrir telle est ma vie.


Fayt
Une bataille rugit au loin ... des cris de soldats retentissent ... des hurlements de douleur ... le tout mélangé à des cris de joies et d'excitation ... le ciel rougeoit , un feu semble avoir pris au loin ... une vision de l'horreur de la guerre ... seul sur la colline , un homme se tiens ... il est grand, un long bâton dans sa main gauche , une bible dans la main droite ... les larmes coulent le long de ses joues , ses yeux sont rougeoyants ... il s'y méle un mélange de tristesse , mais aussi de colère et d'exaspération . Il lève son bâton , une lumière en émane , puis il laisse retomber son bâton sur le sol . Les oiseaux qui étaient restés autour de lui s'envolent vers le sud , loin de la bataille qui fait rage au Nord dans les Collines d'Evendum .

"Ce carnage doit cesser . La guerre a déjà causée assez de pertes . Il est l'heure pour moi de rejoindre Enudes, et faire mon possible pour arrêter toute cette folie ..."

L'homme à l'habit de moine pelerin rabat alors sa capuche sur sa tête et fait volte-face , commençant à s'éloigner de cette vision de sauvagerie et de haine . Il jette alors un dernier regard vers le Nord , une dernière larme coule sur sa joue , puis il poursuit son chemin en direction du sud et de la ville de Bree où se trouve Enudes Patronicus , son frère

Celui-ci ne fut point surpris de voir membre de sa famille suivre finalement ses traces...

Mon frère, enfin je te retrouve... je viens de prendre conscience de la gravité de la situation, celle-ci n'est plus tolérable...

A partir de ce jour,la ou tu iras...j'irai, lorsque tu croisera le fer je forgerai tes lames, et ton moral ne chutera point.

Fayt savait pourtant qu'a deux, leur destinée ne pourrait s'accomplir....

Sa sagesse lui fit rapidement prendre conscience qu'une communauté devait être créée.

Enudes...Mon frère...Nous devons....

Enudes  prit soudainement la parole, et, sur de lui, fit comprendre à son frère que la bataille avait, pour lui, dejà commencé depuis quelques temps...
Il fit alors part de son attachement à une confrerie capable, à terme, de bonifier leurs compentances ainsi que leurs capacités physiques et artisanales.

C'est une vraie communauté mon frère, porte intêret à cette charte......elle doit devenir ta nouvelle Bible

Les deux hommes partir de suite de la taverne du poney fringant...

Enudes presenta alors son frère à ces gloires regionnales, combattants aguerris, dont la destinée semblait, au même titre que la leur, vouée à un futur legendaire ...
Ils appartenaient tous, à la confrerie du cercle de l'éveil!!!!!!


Alvirulan,Eltenor,Garton, Nimraen, Sharael, Titam....


Mon destin est maintenant entre vos Main..

« Modifié: 17 août 2007, 15:11:13 par Sharael »

shalana

  • Invité
Re : Toutes les biographies - les débuts
« Réponse #1 le: 17 août 2007, 15:09:28 »

Brisecoeur
" Mon dieu que la Comté etait belle sous le soleil du matin  du haut du mont de Yale, Brisecoeur avait vaincu ces mouches et avait aquis le titre de "defenseur de la moison", mais un sentiment de grande solitude m emplisait de jour en jour. Etait ce le fait d avoir été orpheline et du coup elevée a Stock par une famille qui l avait receuilli plus pour la forte somme donné par un mysterieux "grand pas" que par amour.
Je me sentait perdue, je combattais sans cesse depuis l enfance et j avais decidé de suivre la voix des gardiens, je l aimais et voulais servir mon peuple, mais par crainte du rejet je n osais aborder d autre hobbit.

De plus depuis peu de temps je vois la Comté pacourue par d'etrange peuple, les Nains,mondieu, qu il sont impossant avec leur armure et leur longues barbes, bizarement je ne vois pas de femelle . Un elfe n aurait glissé qu elles n existe pas , mais je ne lecrois pas.

Les elfes justement, que j appelais avant "longue oreilles" je les trouve beaux mais aussi assez suffisant , j aimerais voir leur pays , ils me disent que c est plus beau que chez moi , vraiement je les crois un peu vantard et surfait.

La race des hommes est bizarre, je ne saurais les decrire mais ils m'attirent, je sens que mon destin est lié a eux , bizarre..

La solitude me pese , je crois qu il est temps de faire face a mon destin et de retrouver cet homme qui m a deposé chez ma famille d acceuil. Pour cela j aimerais faire partie d une communauté a qui je serais loyale et redevable.

Le Cercle de l Eveil fait parlé de lui ds la comté, ils sont valeureux et charitable selon la rumeur, je vais essayer de connaitre leur membre.

Brisecoeur fut sortie de ses penséés par le hurlement d un loup
Elle saisie son epée un sourire aux levres, elle pensait bientot ne plus etre seule et cela, lui emplissait le coeur de joie et de peur aussi.



Onidrin
Bree, une journée comme une autre…

La ville regorge d’activités ces derniers temps avec l’arrivée d’une flopé d’aventuriers venus chercher la fortune…ou la mort.


Cela faisait longtemps que je n’avais pas remis le pied ici…..les souvenirs douloureux accumulés ici semblent me suivre comme mon ombre se profile sur les murs.

Voila ce que je cherchais. La boutique du Joaillier. Un rendez vous avec un certain Anondil ( ), un de ces elfes qui a fait fortune dans les pierres précieuses. Je vais devoir mettre mes opinions de coté, j’ai besoin d’argent.
L’homme pousse la porte de la boutique.


La boutique est crasseuse malgré sa fonction, le bois est usé et blanchi par le temps. Ca ressemble plus à la cave d’une taverne crasseuse qu’a une boutique de joaillier.
Un elfe est en train de mettre des pierres précieuses dans une petite vitrine du même acabit que la boutique.



Inconnu : Vous êtes Anondil ?

Elfe : Oui en effet c’est moi, vous désirez quelque chose ?

Inconnu : Oui, je suis Onidrin, on m’a dit de venir vous voir si je cherchais un travail, j’ai besoin d’argent et..

Anondil : Qui vous a dit de venir me voir ?

Onidrin : Un hobbit dont je ne me souviens plus le nom qui habite a Pont a tréteaux.

Anondil : Ah…..ce hobbit la…

Le visage de l’elfe semble se détendre, il prend une chaise et s’y assoit.


Anondil : Prenez place je vous en prie.

Onidrin : Non merci, je reste debout.

Anondil : Hum…bien. Alors comme ca vous cherchez du travail ? Vous vous y connaissez en joaillerie ? J’ai besoin d’un artisan qualifié qui polisse des Saphirs pour moi, mon commerce est en pleine essor et je n’arrive plus a gérer tout seul.

Onidrin : Oui, je suis même plutôt doué dans ce domaine.

Anondil : Ah oui ? Tiens donc…nous verrons bien de toute façon. Cependant vous devez comprendre que je dois en apprendre plus sur vous avant de vous engager, je ne peux pas me permettre d’engager tous les pèquenots du coin. La plupart sont des incompétents ou des larcineurs qui n’en veulent qu’a mes pierres et mon or.


L’elfe allume une pipe et observe profondément l’inconnu pendant quelques secondes. Le temps que la braise de la pipe s’atise correctement. Mis a part une carrure imposante, le physique de l’humain est commun, blond les cheveux longs, une barbe naissante sur le visage. Rien de bien étonnant pour un homme.



Anondil : Asseyez vous, vraiment. Ce sera plus simple pour parler.

Onidrin : Si vous insistez.

Anondil : Alors ? racontez moi un peu votre passif et n’omettez aucun détails, j’ai besoin de tout savoir.

Onidrin : D’accord….pour commencer comme je vous l’ai dit je m’appelle Leto fils de Olidan, un joailler en poste a Bree il y a fort longtemps. Nous avons quittés Bree lorsque j’étais jeune. Je n’ai plus énormément de souvenirs de cette période.

Anondil : Votre père était joaillier ? Intéressant ça…et lorsque vous êtes partis de Bree ou êtes vous allés ?

Onidrin : Nous sommes restés dans le pays de Bree mais à plusieurs lieues de la ville. Ma famille voulait du calme, l’agitation de la ville ne leur convenait pas. Ma mère est morte alors que je n’étais qu’un enfant.

Anondil : Je compatis.

Onidrin : Vous ne devriez pas, je n’ai aucuns souvenirs d’elle. Je poursuis, j’ai grandi donc en majeure partie dans les collines du pays de Bree. Une enfance sans histoires, quelques bêtises comme tout les enfants mais rien de bien dramatique.

L’elfe sourit.


Anondil : Nous avons tous étés jeunes un jour n’est ce pas ?

Onidrin : Exact. Une fois mon adolescence passée je suis parti vers Pont a tréteaux jusqu'à l’âge de 28 ans.

Anondil : Qu’avez-vous faits la bas ?

Onidrin : Je travaillais pour la garde de Pont a tréteaux.

Anondil : Oh , ce point joue en votre faveur car personne ne saurait douter de l’intégrité des gardes de L’Eriador .
S’ensuit un petit sourire ironique.


Onidrin : Ecoutez, tout ce que je veux c’est travailler et gagner ma vie honnêtement, si j ne vous intéresse pas je m’en vais maintenant.
L’homme se lève et commence a se diriger vers la porte.


Anondil : Attendez ! Comme je vous l’ai dit je cherche un joaillier et vous m’avez l’air de convenir a cette tache…et puis honnêtement les joailliers ne courent pas les rues ici alors je n’ai pas vraiment le choix. Suivez moi je vais vous montrer l’atelier de polissage.


L’elfe se lève et se dirige vers une petite porte qui mène vers un escalier qui descend dans les profondeurs d’une cave qui sent la moisissure d’ici.

Le moment était propice.

La lame s’enfonça dans la gorge de l’elfe sans peine. Il tomba lourdement dans l’escalier pour finalement être amorti par un tonnelet.

Onidrin descendit a son tour et redressa le corps de l’elfe qui vivait encore pour le mettre en position assise contre le tonneau. Ses yeux ne reflétaient que de l’incompréhension et un profond désespoir.



Onidrin : Comprenez bien que je ne fais pas ça par plaisir. Mais par besoin. La vie est dure de nos jours.


L’elfe se contenta d’un gargouillis sanglant en guise de réponse. Du sang coulait abondamment de sa gorge qui n’était a présent qu’une plaie béante. L’elfe essayait vainement de bloquer la plaie avec ses mains mais c’était peine perdue.

Onidrin : N’essayez pas de crier, vos cordes vocales sont tranchés et ça accélérerait votre mort. Ceci dit il ne vous reste que deux minutes à vivre au maximum.
Cependant je dois vous avouer quelque chose que j’ai omis dans ma première version mais qui je pense vous apparaît plus clairement a présent. Je suis un cambrioleur.


Un sourire ironique vint se figer sur le visage d'Onidrin qui regardait sa victime.
L’elfe s’était calmé a présent, la vie quittait son corps et il fixait Onidrin de ses yeux qui se vidaient peu a peu de toute étincelle.


Onidrin : Je ne vous aie pas tant menti que ça, mon père était bien joaillier et j’ai bien grandi dans les collines de Bree. La ou j’ai menti c’est qu’arrivé a Pont a Tréteaux je n’ai pas travaillé pour la garde mais pour une confrérie de voleurs et d’assassins qui m’ont appris leurs rudiments.
L’elfe dans un ultime effort arriva à produire un son.


Anondil : Pou…pou…r …quoi ?

Onidrin : Pourquoi vous ou pourquoi devenir un voleur ? Je vais répondre aux deux. Comme je vous l’ai dit rien de personnel la dedans. Vous avez des pierres et de l’or et c’est ce dont j’ai besoin. Pourquoi devenir un voleur et un assassin ? Car je n’ai pas envie de finir pauvre et démuni comme mon père qui s’est tué a la tache toute sa vie pour finalement périr dans la misère. Il était brave mais c’était un piètre gestionnaire.


Les dernières forces quittaient l’elfe. Son visage était devenu livide en quelques secondes, et ses yeux se fermaient doucement.

Onidrin se leva, décrocha la bourse de la ceinture de l’elfe, vida quelques vitrines et se dirigea vers la sortie.



Onidrin : Croyez bien que ça n’avait rien de personnel…



L’elfe était déjà mort. Onidrin ouvrit la porte et sortit de la baraque.

L’Eriador semblait être plutôt prometteuse en richesses pour tout les larcineurs dans son genre. L’avenir s’annonçait florissant.....




Nowyn
Salut   
Certains d’entre vous me connaissent déjà un peu, car j’ai eu le plaisir de les rencontrer lors d’expéditions de nettoyage de nos belles régions, polluées par le mal incarné en gobelins trolls spectres… !
J’avais déjà entendu parler de votre communauté par un ami rencontré sur les routes…
Hé non, ce n’est pas Didax qui m’a parlé de vous en premier hihihi
Mais un personnage assez petit, un peu enrobé , solide comme un roc…
Allez, vous devinez pas ? Que puis-je ajouter pour le décrire ?
Comme j’ai tendance à me fourrer toujours où il ne faut pas, en oubliant mon jeune âge et mon manque d’expérience, j’ai été bien contente de le rencontrer   
Il m’a soigné parfois avec un peu de rudesse, et souvent fait la leçon, mais son caractère bourru cache une grande gentillesse ! J’oubliais, il aime bien boire un coup de temps en temps, c’est sûrement inscrit dans ces gênes hihihi
Bien sur, Didax m’a également parler de vous hihihi
Il vous a rejoint, il y a peu et se sent déjà très bien parmi vous.
Alors, pourquoi j’ai tardé à passer la porte de l’auberge ? Parce que j’aime observer hihihi
Que voulez-vous, je suis pas une chasseresse pour rien lol
Dans mon coin, je vous ai donc beaucoup observé, et je me suis demandée ce que je pourrais vous apporter. Et bien la réponse est simple…. Rien lol
Dur constat pour mon égo.
Ah si, je peux apporter quelque chose !!!! Je suis une catastrophe ambulante !!!!
Vous pouvez être sûr que s’il y a moyen de passer quelque part sans se faire attaquer, moi je me ramasse tous les problèmes !!! Ce doit être mes chaussures trop petites qui me font toujours glisser !!! Et je me retrouve à faire du surplace au milieu d’une bande de gobelins ou autres lol. Donc, comme je disais, je peux vous apporter des ennuis sur un plateau hihihi
Je chasse l’ennui par des ennuis hihihi (je vais peut être garder cette constatation comme devise)
Bien sûr, je mets mes flèches à votre disposition (mais j’en garde quelques unes au cas ou je vois qu’on s’intéresse d’un peu trop près à mon amour ! Une petite flèche perdue de temps en temps… hihihi)
Pourquoi je vous écris plutôt que d’aller vers vous et de partager un verre en vous faisant rire avec la narration de mes dernières catastrophes ? Parce que j’ai l’habitude des forêts et des grands espaces et que je suis plutôt timide en société. Ma famille étant des fermiers, j’ai appris à connaître la terre, et la pauvreté m’a amené à connaître les bois.  J’ai peu fréquenté l’école et je connais mal les us et coutumes de la société.  Je préfère les rencontres autour d’un bon feu de camp avec un ciel étoilé, ou au détour d’un chemin face au danger, quand on s’entraide, tout en plaisante (même si on a reçu un bon coup sur la tête par un troll qu’une de mes flèches à déranger par erreur)   
C’est ainsi que j’ai eu le plaisir de vous connaître, et j’espère que c’était également un plaisir pour vous.
En attendant votre réponse, je vais retourner espionner un groupe de trolls. Car je me demande ce qu’ils mijotent. Hé oui, non seulement je suis miss catastrophe, mais je suis également très curieuse hihihi
A bientôt j’espère
Nowyn (Chasseresse 30, artisan menuisier, forestier et fermier)
(Passe discrètement derrière son amour, tout en tendant l’oreille, et glisse sa lettre dans la poche de Garton, hihihi un cambrioleur à qui au lieu de dérober quelque chose, on donne quelque chose.)
Ho excusez-moi de vous avoir bousculé, j’étouffe un peu ici et je cherche la sortie.
(fait un beau sourire ingénu)


Celestariel

Fille unique d'une longue lignée d'Elfes prenant part à la guerre contre les armées de Sauron, Célestariel a toujours baigné dans cet esprit guerrier, avec la peur de perdre les siens. Ceci lui a permis de se forger un mental d'acier.. jusqu'au jour fatal où sa mère fut tuée lors d'un combat de "routine", Célestariel avait alors 12 ans. Ce fut une terrible nouvelle car Célestariel en était très proche et son père étant peu présent (il ne revenait qu'une fois par semaine quand tout se passait bien..), elle fut ensuite livrée à elle-même et grandit beaucoup plus rapidement que l'elfe moyen.
Ainsi, pour s'occuper et en mémoire pour sa mère avec un léger esprit de vengeance, Célestariel s'est décidée à s'exercer au combat en s'entrainant en cachette grâce à un livre provenant d'une lointaine déscendance. Celui-ci permettait d'utiliser la magie pour se défendre, ce qu'elle réussit à réaliser tant bien que mal à l'aide d'un bâton qu'elle s'était taillé elle même grâce à un bâton provenant de la forêt longeant son village d'enfance.

Le jour de ses 18 ans, alors qu'elle venait de se réveiller, non loin d'elle se trouvait une boîte qui s'était posée étrangement sur sa table de chevet. Comment avait-il pu aterrir ici? Son père était au combat depuis 4 jours et sa demeure était totalement fermée. Elle l'ouvrit tout de même avec plein de questionnements en tête et fut émerveillée en découvrant le trésor se trouvant à l'intérieur. En effet, il s'agissait d'un bijou qu'elle reconnut aussitôt, c'était le collier qu'utilisait sa mère chaque fois qu'elle allait au combat. Célestariel le prit, le contempla.. puis, avec les larmes aux yeux, le mit autour de son cou, c'est alors qu'elle eut une sensation étrange.. un mot se trouvait au fond de la boite, dès qu'elle l'ouvrit, elle reconnu aussitot l'écriture de sa mère!!?
Citation
Ma chère Célestariel, ma fille,

Ceci peut te paraitre étrange mais sache que c'est une tradition dans notre famille et je n'ai que peu de temps. Ceci est pour ta majorité, ma seule permission, comme tu as pu le reconnaitre ceci est le collier que je portais lors de mes combats, il me portait "normalement" chance. Ce collier provient de nos ancêtre et en ces temps difficiles, je l'ai fait améliorer pour que celui-ci te protège davantage. J'ai pu suivre ta progression en magie et tu as fait d'énormes progrès et je peux t'annoncer que tu fais une belle "maitre du savoir".
Maintenant que tu es majeure, tu as une certaine somme d'argent qui t'attend à la banque elfique de Lorien, fais en bon usage!

Je sais ce que tu as derrière la tête et je suis fière de toi cependant, je te prie surtout de faire très attention à toi et de réussir dans ta mission qui va être longue et dure.

Tu me manques énormement, mais saches que je te suis et que toutes mes pensées vont vers toi.

Ta mère qui est de tout coeur avec toi.

Des larmes coulèrent sur les joues de Célestariel et, après un moment de recueil, elle se leva, écrit un mot pour son père, sortit de chez elle, direction la banque elfique. Elle prit juste de quoi aller se procurer un meilleur baton pour améliorer les effets de son savoir et c'est alors qu'elle se dirigea vers Edhelion.

Après une courte avancée sur les terres de L'Eriador, Célestariel s'arrêta sur un panneau dans la ville de Bree. Ses voyages, seule, bien qu'instructifs pour se faire la main sur de vraies cibles, commençaient à la lasser, elle avait besoin de compagnie. Elle s'en faisait, de temps en temps, mais rien de bien durable. C'est alors qu'une annonce intitulée "le Cercle de l'Eveil" retient son attention. Ayant lu l'organisation de cette confrérie et la Charte jointe à côté de l'annonce, Célestariel eut un léger sourire, elle avait trouvé exactement ce qu'elle cherchait. Elle retint l'adresse du Cercle et, s'installant au "Poney Fringant", elle rédigea sa demande d'adhésion...

Arkall et Oranariel
Sombre, mystérieuse,  cette vieille forêt semblait bien différente. Les loups n'hésitaient pas à attaquer à la moindre occasion. Mais nous devions la traverser!

Arkall : "Suis moi Oranariel, nous allons arriver au niveau de la petite rivière et fait moi vibrer ce luth de ta main si douce pour qu'il nous detende un peu"

Oranariel : "Mais je suis détendue, c'est toi qui semble nerveux" *sourire*

Arkall : *sourire* "Voila, nous y sommes! Nous allons prendre la direction de l'ouest et nous diriger ensuite vers le sud est. Nous allons rencontrer de l'hostilité!"

Oranariel : "Et bien allons y! Cette forêt me fait perdre tout sens de l'orientation"

Arkall : "Les arbres... je suis sur que les arbres se déplacent... *a voix basse* nous sommes écoutés... le bruit de nos pas doivent faire vibrer leurs racines..."

Oranariel : "Vu ma silhouette et la minceur de mes muscles puissants, je dois passer inaperçu..." *sourire*

Arkall : " je te les déjà dit que ta cuisine me faisait grossir!" *sourire*

Oranariel : "pfff... surtout que tu ne manges que du pain Elfique"

Arkall : "Bon, je pense qu'il faudrait se concentrer.Nous allons attirer l'attention de quelques créatures, que nous avons jusque là, reussi à éviter"

Oranariel : "C'est juste, concentrons nous sur notre objectif"

Nous commencions à retrouver nos esprits. la forêt devenait plus sinistre. Quelques araignées nous barraient le chemin, mais ensemble, nous les terrassions. Mes flêches transpercaient l'air enrobées de notes de musique. D'une main habille et douce, les cordes du luth d'Oranariel vibraient et nous rendaient plus fort que jamais. Mais je me trompais! La musique perdait tout son sens... l'air n'était plus... L'atmosphére de l'antre de la tisseuse s'infiltrait en nous. Nous étions pris au piege! Les araignées descendaient délicatement le long des parois de la toile. Nous étions... nous étions en train d'être digérés! Mais soudain, un ours transperca la toile et engagea un combat acharné contre les tisseuses. Une boule de feu jaillit telle un volcan en irruption et détruisit l'araignée qui s'apprétait à me mordre! Une musique s'infiltrait dans l'air et nous donnait de l'oxygéne pour raviver nos corps empoissonnés. cette musique je la connaissais. Une symphonie de bien être telle la caresse délicate de la rosée. Je levais la tête péniblement lors qu'une main se présenta à moi. Nous étions debout face à deux humains.

Arkall : "Merci beaucoup de votre aide en ces temps de guerre et de souffrance. Je me présente, je me nomme Arkall et voici ma bien aimée Oranariel"

Inconnu : *sourire* "enchanté, ..., mon nom est Fayt et voici le maître du savoir, Asesdor le paysan mage!"


Oranariel et moi, désiront plus que tout vaincre les forces de Sauron! Nous ne pouvons le faire seul! Cet échec dans l'antre de la tisseuse nous a montré que nous les elfes, avions besoin des humains, des nains et des hobbits pour combattre la menace de l'est. Fayt et Asesdor n'étaient que des inconnus et sont devenus nos amis! Le cercle de l'éveil brille dans leurs yeux et nous éveille! Pendant que Frodon porte l'anneau en mordor, attiront l'oeil de Sauron afin que celui ci ne se doute pas que son anneau est dans les mains d'une créature tout à fait inattendue!


Galehor et Nimriam
les deux elfes courraient à toutes jambes a travers la brume. Nimriam ouvrait la marche ,elle se retourna, et lança à Galehor : " ils sont toujours derriere ?!!"
"- je n'en sait rien et je n'ai pas spécialement envie de vérifier tout de suite" repondit-il, haletant sous sa lourde robe de velour rouge.
Leur course éperdue se poursuivit encore quelques longues minutes lorsqu'il atteignirent enfin la lisière du marais. Derrière les collines, au loin, depuis longtemps le soleil s'était couché.

La chasseresse ralenti le pas. "arretons nous ici, ils ne se risqueront pas hors de leur territoire... du moins pas encore."

Essayant à grand peine de reprendre son souffle, galehor s'inquieta :" combien etaient-ils ? 20, 30 ... peut etre plus ? "
- 37 a nous courir aprés ... 38 avec l'unijambiste qui n'est pas allé trés loin..."
- ah oui quand meme..."

Nimriam avait deja assemblés des branchages et s'appretait à allumer le feu quand quelque chose fit trembler les roseaux qui bordaient une petite mare derriere eux ... la jeune elfe banda immédiatement son arc, une paire de fleches pointées dans la direction de la menace... dans la pénombre et la brume, ses talents de chasseuse ne lui permettaient plus d'identifier la chose qui s'approchait ... elle s'avait juste que c'etait ... gros ...

La brise nocturne fesait chanter la code tendue a l'extrême ... et alors que ses doigts fins glissaient pour libérér les flèches, Galehor se jeta sur elle : "ATTEND !!". Les deux flèches furent decochées haut dans le ciel.

Nimriam le repoussa : "Mais tu es fou !"

Un Gros ours mouillé sorti des roseaux et Galehor s'exclama: "Grognard !! tu t'en es tiré toi aussi mon vieux !!"
L'animal qui tenait dans sa gueule ce qui devait être les restes d'un bras de gobelin lança un regard noir à la chasseresse, puis s'avança d'un pas lourd vers son maître.

Arrivé à la hauteur de nimriam, il en profita pour se secouer et tremper d'une eau nauséabonde à la fois la jeune elfe et le maigre feu qu'elle essayait d'allumer.
"Si cette horreur refait ça.. je ferai exprés de lui tirer dessus la prochaine fois." lança l'elfe degoullinante.
"allons tu sais qu'il est trés sensible" dit Galehor.

Aprés un maigre reconfort gastronomique (une portion de biscuit sec et un peu de vin de bree pour les elfes et un bras de gobelin pour Grognard) la discussion pris une autre tournure.

"ça ne peut plus continuer comme ça mon ami" déclara Nimriam.
"- oui, ce vin humain n'est pas le meilleur qui m'ai été donné de gouter" repondis le maître du savoir en grimançant."
"- non ce n'est pas de ça que dont je veux parler, ça fait la troisième fois en deux jours que des créatures en surnombre nous forcent à fuir, et j'ai peur que nous n'ayons pas toujours les jambes suffisamment rapides."
"- que cherche tu as me dire ?" questionna Galehor.
"- que nous ne sommes sûrement pas les seuls à être tenu en echec par ces monstruosités, et que plutôt que de fuir chacun séparément nous pourrions vaincre ensemble."
"- tu veux faire alliance avec ce hobbit qu'on a vu saucissonné dans le garde-manger des orques et qui prétendais que c'était la seule façon qu'il avait trouvé pour s'inflitrer dans leur camp ? "
"- pas spécialement lui (surtout que je ne crois pas qu'il en reste grand chose aujourd'hui) mais il y a partout des gens courageux qui ne demande qu'à unir leur force", declara Nimriam.
"- ma foi, ça peut etre interressant trés chère, pourquoi pas"
"- bien dés demain nous irons en ville et nous trouveront des valeureux braves qui nous accepteront. Pour nous ca devrait aller ... par contre pour ton sac a puces ..."

Grognard lanca un grondement sourd en direction de la chasseresse. Galehor tappota l'ours derriere la tête: "allons allons ...elle plaisante et tu sais que je n'aime pas quand tu es grossier..."


Thorweld

alut à vous, grandes et petites Gens des Peuples Libres !

Je suis Thorweld, homme du Rohan, joueur de luth car incapable de faire autre chose. Fils d'éleveurs de chevaux aisés, j'ai dilapidé ma prime jeunesse dans les rires et la bière, tirant gloire des baisers volés plutôt que des batailles gagnées. Mon père et ma mère, déshonnorés par ma conduit et désespérant de faire de moi un homme de bien, m'exilèrent. C'est sur les routes poussiéreuses qui me menèrent au nord que j'appris à jouer du luth, bien mal ma foi, mais je me découvris certains dons de guérison que je mets au service de mes semblables.
Cherchant à m'amender, j'ai renoncé à toute boisson intoxiquante ; je risque donc de ne pas toujours être un compagnon de beuverie pas très coopératif ... mais je serai toujours la pour remettre sur pieds nos amis les nains (qui, le fait est connu du Royaume du Nord jusqu'au Haradwaith, ne tiennent pas la bière) en leur concoctant, pourquoi pas, un cocktail à base de lait et d'oeufs crus. Je n'ai cependant pas renoncé à tout amusement ... je suis toujours incapable de résister aux promesses que je crois lire dans des grands yeux innocents ou aux fruits que je pourrais cueilllir sur de jolies lèvres pleines et rouges ... je suis toujours prêt à tenter ma chance même si je dois essuyer de cuisants refus !


Tann
Bonjour a tous, j'ai bien pris connaissance de la charte et voici ma présentation:

Je m'appelle tann et j'ai grandi non loin de bree.
Ma jeunesse s'est déroulé de la meilleure façon possible.J'ai été élevé par mon père fabricant d'armes.Il m'a enseigner son art et aujourd'hui je m'entaine dur pour l'égalé. Mon apprentissage a commencé par quelques livraisons d'armes dans le pays de bree et jusqu'à la comté.Ceci m'a permis de rencontré ce curieux peuples :les HOBBITS.Je me suis vite habituer a leurs mode de vie et surtout en ce qui concerne l'herbe a pipe ou ma connaissance de celle ci dépasse peut etre celle du monde extérieur. En route j'en profitait pour m'entraîner au combat contre des bêtes sauvages.
Puis les ombres sont venues dans nos contrées et m'ont obligées a prendre les armes pour effectuer mes livraisons car les gobelins et les brigands du sud sont partout autour de nos villages.
Un jour alors que je buvait quelques pintes a hobbitebourg après une journée bien rempli mon pere s'en alla livrer des armes a l'est du mont venteux.
Ce dernier ne donnant pas de nouvelles je parti a sa recherche.Mais il etait déjà trop tard, des gobelins lui avait tendu une embuscade.
Je chercha jour et nuit pour recuperer ses outils de fabricant d'armes et un carnet contenant tout son savoir, mais alors que je me resignai a arreter mes recherches je vis un camp gobelin en face de moi.Je les executa un par un avec l'aide d'un capitaine qui me proposa une communauté.Nous avons fait un carnage ce jour la et j'obtins les outils de mon pere. Ce capitaine disparu après la victoire et je pris conscience ce jour la de ce qu'il etait possible de faire en combinant les efforts et les compétences.Depuis ce jour j'accumule les défaites en solo alors SVP aidez moi!!!!!!!!!



Kashounette

Il faisait frais se matin là, et j'étais parti chasser le sanglier, afin de préparer la fête de mon 100ème anniversaires le soir même ; et oui je suis une toute jeune Elf encore bien peu expérimenté.
Je m'étais posté le haut d'un arbre afin de repérer ma proie quand soudain mon perchoir fut heurté par quelque chose à sa base.
La cime se balançait d'Est en Ouest, je m'agrippais pour ne pas tomber ; je jetai un oeil rapidement en bas pour comprendre ce qu'il se passait ... une horde de sanglier sauvage m’avait localisé … si je lâchais prise s’en était fini de moi.
Brusquement j’entendis un cris venant de nul par, qui me donna courage et vitalité ; mes compagnons … mes amis étaient là, en bas, en train de combattre les sangliers pour me porter secours.
D’un geste élégant et gracieux, digne d’une Elf, je fis une roulade en avant et vins atterrir auprès de mes confrères.
La bataille fût rude, mais nous en sortions vainqueur, et avec, en prime, l’approvisionnement du festin à venir.
Le soir venu, nous festoyions ensemble, pour nous rappeler les bons moments passés, tout en nous préparant aux durs instants qui se préparaient …


Ewenn
Son père était parti en ne lui laissant qu'une bourse, certe plein d'argents, mais à quoi bon...La jeune elfe se laissa choir sur l'herbe. Elle repensait à sa conversation la veille :

"Comment peux-tu me faire cela Ewenn !" : son père ne l'avait jamais regardée ainsi, lui qui était si doux...

"Père, je suis navrée de vous décevoir, mais je préfère m'excercer à l'épée !"

"Ta mère souhaitait que tu deviennes une maîtresse du savoir et non une vulgaire gardienne !"
Ewenn ne se rappelait que de sa mère : ses longs cheveux blonds et de ses grands yeux verts, elle avait quitté Celondin pour entreprendre un long voyage, lui avait dit son père.

"Il n'y a rien de vulgaire à porter une épée et un bouclier !"

"Il est trop tard Ewenn. J'attendais de toi que tu m'obéisses mon enfant, tu as fait ton choix alors tu vas assumer tes actes ! " : Il prît sa capeline et il sortit de la pièce laissant derrière lui la jeune elfe partagée entre différentes émotions.

Il était tout pour elle, sa seule famille et là, elle le décevait alors qu'il était le premier à s'émmerveiller des découvertes d'Ewenn !

Elle alla dormir.

De sa main, elle caressa l'herbe : "me voilà seule avec mon épée !". Elle se releva et elle prit la direction de Celondin.
Il y avait une certaine effervescence dans la ville, la fête de l'été arrivait à grands pas et le destin d'Ewenn aussi.


Abella
Le coeur battant, le corps encor tremblant de mes combats, accompagnée de mes amis et mon pére dans Garth Agarwen, je m'approche d'une auberge. Je m'assoie à une table, la réconfortante musique d'un Menestrel m'appaise, et mon esprit se laisse aller, je me rapelle les moments passés avec certains d'entre vous, Monsieur Garton, la sympathique Ewenn, le joyeux Thorweld. Plus récemment les valeureux Nekao et Druu que je remercie chaleureusement pour leur aide.

Désormais je me sens prête à poser ma candidature dans votre confrérie, si vous voulez bien d'une jeune championne en plein apprentissage, encor hésitante mais décidée d'apprendre à vos côtés et d'apporter ma contribution dans votre quête collective contre les forces de Sauron.


Konann
Je me se retourne une dernière fois en direction des ruines encore fumantes d'Archet.
L'attaque des brigands Plateau-Noir a tué mes amis et ma famille.
La place du village ou se tenait encore hier le mariage de mes amis Eliandore et Kan n'est aujourd'hui qu'un alignement de cercueils.
C'est avec une envie de vengeance que je prend la route de Bree, j'espère y trouver des aventuriers qui comme moi voudrons combattre les forces du mal, et de bon artisans qui m'aiderons a progresser dans mon art.

Je pense que je re croiserais bien vite Eogan et lui ferait payer de ma lame la destruction d'Archet.
Je vais chercher une confrérie qui voudra de moi et m'aidera à y arriver.

shalana

  • Invité
Re : Toutes les biographies - les débuts
« Réponse #2 le: 03 septembre 2007, 12:56:54 »
Marywen

Marywen eut une enfance des plus particulière. Alors que ses parents attendaient avec impatience sa venue au monde, son père commandant de la garde du Rohan, espérait avoir un fils pour prendre sa relève mais la vie et les dieux en avaient décidé autrement.

Sa mère mourut en couche, son père décida d'exhausser alors son voeux. Puisque s'était une fille, elle se prénommerait Marywen mais son désir d'avoir un fils était si grande qu'il décida de l'élever ainsi, comme un fils.

Marywen passa ainsi toute sa tendre enfance, dans l'école de la caserne, son père le voué à une vie militaire, il apprenait donc le maniement des armes, la discipline, le commandement et beaucoup d'autre chose très utile à un futur capitaine.

Le père de Marywen mourut alors qu'elle n'avait que 12ans, ce fût un ami de celui-ci qui connaissait le secret qui décida de l'élever.

Le temps passa dans cette petite caserne du Rohan, Marywen a force de courage et d'abnégation était devenue Capitaine de la garde. C'est alors qu'une dispute éclata entre ses hommes. Marywen s'interposa alors toutefois un coup d'épée révéla à l'assemblé son terrible secret. Elle fût convoquée devant le nouveau commandant, lorsqu'il demanda si la rumeur était fondé, elle acquiesça. Celui-ci devint rouge de rage. Une femme dans l'armée, dans la garde qui plus est, de mémoire d'homme cela ne c'était jamais produit car tel n'était pas la place d'une femme. Elle fût tout de suite chassé de la garde, perdit ses amis, son grade, son métier, tout ce que pourquoi elle se battait depuis toute petite. Elle partie donc vers le Pays de Bree afin de ne pas jeter l'opprobre sur la seul famille qui lui restait.

C'est un soir, alors que Marywen buvait un verre au poney fringant qu'elle fît la rencontre du Cercle de l'éveil par la personne de Kelvorn. Celui-ci était entouré de deux jeunes filles et se pavanait comme un jeune premier. Malgré ses manières bien peu courtoise voire même déplacé, elle se pris d'affection pour lui, il lui rappelé son père partie trop tôt. Petit à petit elle fît la rencontre d'autre membre de la confrérie, elle les observait de loin n'osant les déranger. Soit parce qu'ils avaient une discutions importante, soit la remise de prix pour une quel qu'on que événement, elle ne s'arrêta pas non plus lors que deux membres se disputer et finissaient par en venir aux mains. Une occasion sereine ne s'était jamais présenté alors elle pris son courage à deux pour venir ici se présenter et proposer ses services à la confrérie du Cercle de l'éveil, visiblement très « aware ».


Bonjour,

je m'appel Marywen, je suis capitaine du 15ème cercle et franc-tenancière de mon état. Après avoir rencontre bon nombre de membre de votre confrérie, j'aimerai si vous êtes d'accord vous rejoindre.

 


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