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Auteur Sujet: l'histoire d'un nain  (Lu 6546 fois)

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l'histoire d'un nain
« le: 14 août 2009, 10:17:55 »
C’est par une nuit d’orage que Olfi mis au monde son enfant. Avec son mari, Varek, la mère ne savais pas comment nommé ce nouvel arrivant. C’est un grand oncle, du coté de la sœur de Olfi, qui leur proposa le nom de Kardel. Il disait toujours que ce nom avait un consonance rocailleuse et héroïque. Les parents du nouveau né acceptèrent se nom, Kardel, et espérèrent un avenir plus que glorieux. Et il ne furent pas déçus, dés ces plus jeunes âge il commença à imité son père entrain de s’entraîner au combat, plus tard, ayant atteint son 6° printemps, il jouait avec les outils de son père qui n’étaient autres qu’une pioche et un marteau de forgeron. Ces parents le voyant faire vu en lui un repreneur certain du flambeau que portait ces derniers. Alors que ses 16° printemps venait d’être fêté, son père lui dit :

« Viens mon fils, étant devenu grand je peux t’initier !
- Mais m’initier à quoi, père ?
- Aux arts de la guerre, vois tu nous somme tous de grand guerrier dans la famille et tu la remarquer. C’est pourquoi aujourd’hui, je vais t’apprendre à te défendre face à un ennemis.
- Whoua ! c’est vrai ? je vais vraiment manier une arme comme toi ?
- Ha ha ha ! tu es bien précoce mon petit, commençons tout d’abord par le couteau ! Après seulement une fois plus âgé, tu pourras peux être t’initier aux arts du champion et manié de vrais haches !

Durant les journées qui suivirent, Kardel est son père s’entraînèrent tout deux a leur arme. Puis un jour ce qui devait arrivé, arriva. La guerre était proche Varek fut recruté dans l’armée des peuples libre pour se dressé une nouvelle fois face aux armées de Sauron. Avant de partir Varek s’entretint avec son fils :

- Il est tant de te la légué, mon fils, voici la hache des XXXXX.
- Quoi ? mais sa veux dire quoi ?
- Ha Ha ! pourquoi XXXXX, car cela fais maintenant 500 ans que nous la transmettons de père en fils. Un jour viendra, j’espère, ou toi et tes enfant n’auront pas à l’utiliser.

Et sur c’est mon Varek se retourna et parti. Accompagner d’autres nain, le père s’éloigna sans se retourné, il savais que s’il le faisait, il ne pourraient pas les quitté. Kardel, la hache toujours à la main, le regarda avec sa mère pendant très longtemps, jusque la nuit vint.
Au lendemain, Kardel parti pour la grande cité de Thorin. C’est la que sa mère lui dit de se perfectionné, il chercha maintenant un instructeur digne de lui apprendre tout son savoir et pouvoir lui transmettre son art meurtrier.
« Modifié: 14 août 2009, 13:36:53 par Kardel »

Glawdys

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Re : l'histoire d'un nain
« Réponse #1 le: 14 août 2009, 11:35:19 »
Sympathique biographie  :)

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Re : l'histoire d'un nain
« Réponse #2 le: 14 août 2009, 12:07:06 »
Après de longues heures de marche, Kardel arriva sur une place enneigé. Il se trouvait sur dans la vallée de Thorin, il connaissait bien cette région. Il y avait passé toute son enfance, il se revoyait courir avec ses amis faisant la course jusqu'au lac pour plonger la tête la première. A ses évocations il repensa à son père qui était toujours avec lui, et il le revit partir au loin à travers la nuit.

Le brouhaha ambiant le tira de sa rêverie, il y avait tellement de vie sur cette place. Il continua de regarder aux alentours et il vit l’immense palais de Thorin, il vit d’abord le grand escalier qu’il devait monter pour pouvoir entrer dans le gigantesque édifice.
Il entama donc son ascension d’un pas ferme et résolu. En montant les marches, Kardel découvrit le palais, un endroit que, si vous n’êtes pas un ami des nains, vous ne pourrez rentrer. Le palais était entièrement bâtit dans la montagne qui le protégeait des attaques d’une quelconque nature. Et si le milieu ne retenait pas les ennemis, des nains en armures et toujours près à en découdre attendait qu’un geste soit fait, qu’un ordre soit dit, et il fonderait sur les envahisseurs.

C’est alors qu’il arriva en haut de l’imposant escalier et en voyant le palais ainsi que ces lourdes portes, il se sentait vraiment petit et si jeune, si inexpérimenté. Le bâtiment reflétait un âge ancien, il ne savait pas depuis combien de temps le palais avait été construit. On pouvait voir des runes gravé sur tout le tour des portes en même en certain endroit sur le palais. Il était tellement subjugué par cette magnificence qu’il fallut qu’un passant le bouscule pour qu’il revienne sur terre.

Il se décida enfin à franchir ces énormes portes et trouver quelqu’un qui pourrait l’aider. Mais il était encore jeune et ne savait pas si on allait l’écouter comme un grand. Une fois entré, il put voir l’intérieur. L’extérieur était immense mais alors à l’intérieur, on dirait que c’était encore plus grand. Partout où son regard portait, il y avait de l’activité, des marchants d’armes, d’armures, des cuisiniers, des bardes et tout autres sortes de vendeur. Kardel s’avança dans le hall, il pouvait voir dans un coin des banquiers prenant et donnant quelques pièces aux nains présents devants eux. Il continua de marcher et vit à droite une sorte de four.
Une forge, se dit-il, plusieurs artisans travaillaient avec des outils tous différant. Il arriva face à un nouvel escalier et savait très bien où il menait.
« Modifié: 14 août 2009, 14:36:19 par Kardel »

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Re : l'histoire d'un nain
« Réponse #3 le: 14 août 2009, 16:22:05 »
Le Roi Dwalin vit se nouvel arrivant monté les marches et dit à ses gardes de le laisser passer.

- Salut à toi, mon frère, que puis-je faire pour toi ?
- Salutation Roi Dwalin ! Je me nomme Kardel et je veux m’enrôler dans vôtre armée.

Le Roi le regarda de la tête aux pieds sans rien dire. Kardel sentit qu’il devait faire bonne impression et se redressât de toute sa petite hauteur.

- Hum… tu m’as l’air jeune pour vouloir rejoindre l’armée. Mais c’est inévitable, la guerre est partout et nous avons besoin de nouvelles recrus ! Je te propose d’aller voir nôtre maître d’arme qui te donnera des conseils.

A ses mots, Kardel s’inclina respectueusement et se retourna

- Attend Kardel ! Puis-je te poser une question ?
- Oui Roi Dwalin, répondit-il.
- Pourquoi veux nous rejoindre dans la guerre ?
- Mon père a été recruté car l’armée avait besoin de monde. Maintenant je veux aider mon peuple et défendre cette terre qui m’est si chère. Aussi je veux retrouver mon père !
- Si je peux te donner un conseil, tu n’es pas seul, trouve d’autres personnes qui pourront t’aider aussi.
- Merci Roi Dwalin.

Kardel descendit les marches et entendit avant de voir les salles d’entrainement. Il y avait plusieurs nains certains combattaient avec des haches, d’autres avec des épées ou encore des marteaux. Il y avait une salle réservé au combat singulier avec des bâtons représentant les armes. Dans les coins des instructeurs criaient des ordres aux nouvelles recrues. Kardel s’approcha d’un instructeur qui le regarda venir en sa direction et lui dit à son arriver.


- Qu’est c’tu veux ?
- Un instructeur pour rentrer dans l’armée.
- Ok, viens par là.

L’instructeur précéda Kardel dans une petite salle. Un autre nain était assit fumant une pipe aussi vielle que lui. A leur arriver, il se retourna pour contempler les deux intrus qui avaient osé le déranger.

- Maître, voici un jeune qui veut suivre un entrainement pour rentrer au service du Roi Dwalin.
- Hum…, se contenta de répondre le vieux nain. Eh ben quoi, qu’attend-tu ? S’il veut de l’entrainement  ne le fait pas attendre ! C’est la guerre bon sang …

L’instructeur se retourna face à Kardel et lui fit signe de venir. Ils sortirent de la pièce dans laquelle on entendait le vieux nain marmonner sur tout est n’importe quoi. Le nain lui tendit une hache et désigna l’épouvantail en face.


- J’suppose que tu sais c’qui te reste à faire ! Allez frappe.

Kardel s’exécuta et trancha net l’épouvantail.

- Oh ! Bravo je m’attendais à pire en t’voyant, lui dit le nain. Mais i’ faut croire que ce n’est pas la première fois que tu tiens sa.

Il emmena Kardel dans la salle d’entrainement pour les combats singuliers. Il prit son manche et frappa sur le sol. Le bruit résonna dans toute la pièce et les combattants s’arrêtèrent pour se ranger en ligne.

- Choisi l’un d’eux et mont’ moi s’que tu sais faire face à quelqu’un de vivant.

Kardel parcouru l’assemblée d’un regard, tous les nains présents étaient beaucoup plus fort que lui, il allait devoir usé d’un tactique pour vaincre son adversaire. Un nain s’avança et dit :

- Ch’ré ton adversaire !

A ses mots tout le monde recula rapidement pour laisser place à l’affrontement. Le nain qui l’avait défié avait une carrure beaucoup plus importante que lui. Il avait des tatouages sur tout sous corps. Vraiment comment vais-je m’en sortir ?, se dit-il au fond de lui-même.
Le premier coup arriva à une telle vitesse et surtout sans crier garde, mais Kardel avait prévu l’attaque et se jeta à plat ventre et roula sur le coté pour tenté une attaque visant le genou. Lorsque l’attaque toucha derrière le genou, un bruit sourd se fit entendre et le nain tomba littéralement à quatre pates. Kardel se releva aussitôt et leva son bâton au-dessus de sa tête pour l’abaisser sur la tête du nain par terre, il y mit tout son poids et quelques nains furent surpris de voir qu’il allait le tuer. Mais avant que le bâton toucha la tête, Kardel arrêta son geste pour finalement lui donner juste de quoi lui faire une petite bosse et l’assommé.

- Pourquoi avoir retenu ton coup ! Brailla l’instructeur.
- Il ne mérite pas de mourir !
- Quoi qu’il en soit tu as fait preuve d’une résolution extraordinaire, s’exclama un nain, et tu nous as montré que lorsque la force n’est pas égal, on doit utiliser sa tête pour surprendre son adversaire.

A ses mots, tous les nains s’inclinèrent devant le Roi Dwalin qui entrait dans la pièce.

- J’ai assisté à ton affrontement et je souhaite te félicité.
- Merci Roi Dwalin, répondit Kardel.
- Va à Gondamon, là bas tu trouveras ce que tu cherche.
- Merci Roi  Dwalin.
- Va vite et puisse les dieux te protégé durant ta quête, dit le roi en faisant le signe de la bénédiction sur le front de Kardel.

Faisant une révérence devant le roi. Kardel sortit de la pièce et se dirigea vers les grandes portes du palais. Une fois dehors, une vague de froid l’accueillit. Il commença à descendre le grand escalier et pris la direction de Gondamon.

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Re : Re : l'histoire d'un nain
« Réponse #4 le: 14 août 2009, 22:15:06 »
Sympathique biographie  :)

merci sa fait que de commencer ^^

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Re : l'histoire d'un nain
« Réponse #5 le: 17 août 2009, 16:00:32 »
Après deux jours de marche, Kardel arriva en vue du village nommé Gondamon. Il suivait le chemin en pavé le long de la rivière qui coulait depuis le palais de Thorin et traversait toute la vallée. Près de la rivière, deux ou trois nains attendaient patiemment qu’un poisson daigne de venir se prendre au bout de la canne, il remarqua qu’un nain c’était assoupi devant son effort. On disait que ce village était le dernier rempart si une attaque était lancée contre le palais de Thorin. Avec ces murs en bois, la citée semblait imprenable mais la vigilance et la prudence était de mise. Au sud, un repaire d’orques mis à bonne distance par les sentinelles, à l’est, un bastion de brigands et traitre nains, et au nord des rumeurs courraient sur le fait que des êtres spectraux sont revenus pour hanter l’endroit. Kardel entra dans le village par l’entrée principal, en passant il salua d’un signe de tête les deux gardes poster devant l’entrée qui lui retournèrent son salue.

A l’intérieur la foule c’était réuni devant une sorte d’estrade pour écouter un gamin crier des avis au peuple. Kardel préféra voir au alentour, il y avait une étable sur la droite avec des coursiers rapide faisant le voyage jusqu’à Combe et même Bree. Sur la gauche se trouvait le coin des artisans, forges, fours, bibliothèque, étables et toutes sortes d’objets dont ils avaient besoin dans leurs travaux. Dans le fond, on voyait l’enseigne d’une taverne, il décida de se dirigé là bas pour passer le nuit et voir au matin l’intendant de sécurité. En se rapprochant, il vu que le gamin sur l’estrade n’était pas si jeune,
un Hobbit se dit-il, qui parlait sur un recrutement de guerriers pour combattre. Arriver au pied de l’estrade pût enfin comprendre se qu’il disait :

- Mes chers amis !
L’heure de la paix est terminée, la guerre est partout ! Engagez –vous ! La confrérie « Le Cercle de l’Eveil » a besoin de vous !
Que vous soyez guerrier, mage, archer, vous êtes tous les bienvenues !

Une confrérie, se qui signifie qu’il n’est pas seul. Je pourrai sans doute trouver des allier pour m’aider dans mon apprentissage. Les pensées de Kardel se bousculaient ne sachant que faire.

- Pour faire une demande veuillez venir auprès de moi pour recevoir ce feuillet à retournée à l’adresse indiquer ! Alors qui veut ?
- Moi ! Fut le premier mot qui sorti de la bouche du nain
- Très bien ! Vôtre nom ?
- Kardel
- Voici pour vous Kardel, nous répondront rapidement à vôtre demande.

Après avoir reçus son papier, il parti en direction de la taverne pour faire se qu’il devait faire précédemment, se reposer. Lorsqu’il partit, il entendit d’autre personne demander le papier pour être eu aussi recruter. Il gravit les quelques marches et passa la porte de la taverne.

En entrant une forte odeur de bière et de pisse envahi ses narines, l’endroit était petit et pas mal de monde y buvait ou parlait. Il alla au cotoir pour se faire servir une bière et demander une chambre. Le tavernier lui servi sa bière et lui donna les clés de la chambre. Kardel monta l’escalier pour se diriger vers sa chambre, une fois rentré il ferma la porte et sirota sa pinte tout en s’installant sur le lit. Ses pensées allait et venait dans tous les sens, il se revit avec son père alors qu’il avait que 5 ans, courant dans la vallée, plus tard avec ses copains faisant des batailles. Il posa sa pinte sur la table et s’allongea sur le lit continuant à rêvé éveiller puis la nuit vint pour remplacer le jour, il sombra enfin dans un sommeil profond, oubliant les hurlements de loups au loin.

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Re : l'histoire d'un nain
« Réponse #6 le: 21 août 2009, 10:59:07 »
Le petit matin vint à travers la fenêtre pour illuminé la chambre qu’il occupait. La vie du petit village avait repris ses activités. Les yeux encore embrumer par le sommeille, Kardel se demanda où il se trouvait. Il pût voir qu’il était tout habillé et n’avait pas bien dormit de se fait. Sa hache était dans le coin de la pièce là où il l’avait posé avant de sombrer dans l’inconscience. Il se leva et parti en direction de la salle de la taverne, là il put voir que les gens que la nuit étaient toujours là à boire certain étaient étalé par terre complètement ivre. Il demanda une pinte que le tavernier lui servit aussitôt puis reparti dans sa chambre en fermant la porte dernière lui. Il y avait toujours le parchemin posé sur la table basse, Kardel le pris et le déroula.

Salutation !
Ce parchemin sert de descriptif, il vous faudra le remplir et nous le renvoyer à l’adresse indiqué si dessous. Nous répondrons à vôtre attente dans les meilleurs délais.

Merci de vôtre compréhension et à bientôt.
Le Cercle de l’Eveil

Kardel prit la plume et l’encrier qui était à disposition dans la chambre. Il trouva une feuille dans un tiroir du meuble et commença à écrire. Il ne savait pas quoi mettre il décida de faire bref, son nom, ses objectifs, pourquoi être recruter. Il écrit donc ses quelques lignes pour le décrire aussi physiquement et ses passions. Après avoir remplit comme il fallait, il signa et mit le petit parchemin dans l’enveloppe fourni avec la lettre d’hier, il marqua l’adresse et se mit en route pour trouver un coursier. Le tavernier le regarda d’un air sévère, il lui dit simplement qu’il allait faire un tour et reviendrait cette nuit. Kardel se dirigea vers l’étable, l’endroit où il avait le plus de chance de l’envoyer. Il vit un cavalier préparé son attelage, Kardel s’approcha doucement mais l’homme se retourna.

- Oui ?
- Hum … euh… j’aimerai savoir si vous pouviez me dire où mettre les lettres à envoyer pour Bree ?
- Donner j’y pars !
- merci beaucoup, monsieur.

Le cavalier prit la lettre et  monta à cheval, fit un signe à Kardel et parti au galop en direction de l’horizon. Il ne restait au nain qu’a attendre la réponse de la confrérie. Bon puisque j’ai la journée devant moi pourquoi pas essayer de trouver une occupation, mon père m’a montrer comment fondre du métal. Il parti vers la forge la plus proche et regarda un instant les autres artisans faire. Il connaissait les bases mais voulait en apprendre plus, il s’approcha d’un nain qui tapait de son marteau sur un bout tordu d’une épée. Il le regarda s’approcher puis dit :

- Besoin d’quek’ chose l’ami ?
- Oui, apprenez moi à faire ce que vous faite.
- A mais mon p’tit gars, faut avoir une bonne connaissance du métal et des armes.
- Et bien commencez par m’apprendre les bases, dit Kardel, on verra plus tard si je tiens le coup.
- Comme tu voudras ! lui répondit le nain.

Il lui fit signe de s’approcher et lui tendit les outils.

- A partir de maintenant ces les tiens, utilise ce fragment de bronze pour le fondre et en faire un lingot.

S’exécutant de suite, Kardel pris les outils et le fragment et le posa sur l’enclume. Il fit d’abord chauffé ces outils puis le fragment. Une fois arriver à bonne température, il le remit sur l’enclume et pris le marteau de la main droite tout en tenant le fragment avec la pince de l’autre. Il commença à frapper pour donner au fragment le forme qu’il désirait, en l’occurrence un lingot. Après avoir la forme, il plongea le tout dans l’eau froide, il s’en glaça presque les mains. Il ressortit le lingot et le montra au nain qui était resté là à le regarder faire et hocha simplement de la tête. Après un certain temps, il dit :

- Hum je vois que se n’est pas la première fois que tu manie ses outils. Bien soit ! Je te donne se livre, il t’aidera à forger des armes. Et souvient toi d’une chose, c’est en forgeant que l’on devient forgeron !
- Merci maître forgeron.
- Ha haha ! Ne m’appel pas comme ça je ne suis qu’un simple artisan.

Et le nain se détourna de Kardel pour repartir à l’endroit où il était avant qu’il ne soit importuné. La journée était bien avancer et le jour commençait à tomber, Kardel se dit qu’il était temps de retourner à sa chambre pour avoir cette fois ci une bonne nuit de sommeille. En entrant à l’intérieur, il put voir qu’il n’y avait personne, ou presque, deux hommes étaient attablés buvant et parlant de chose et d’autre. Il ne leur prêta pas attention et monta directement dans sa chambre, en passant avant tout une commande de bière. Après l’avoir but, il descendit en prendre une autre, puis une troisième et une quatrième. La soirée était bien avancé et lui aussi, il décida de monter et de se coucher.

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Re : l'histoire d'un nain
« Réponse #7 le: 26 août 2009, 14:51:25 »
Il fut réveillé par le tambourinage incessant à la porte. Après plusieurs minutes, Kardel se leva enfin et alla ouvrir. C’était le tavernier, il avait une lettre à la main qu’il lui tendit et reparti sans un mot. Kardel put voir que la lettre avait le même sceau en forme de C et de E. Ca c’est du rapide ! se dit-il. Il décrocha l’enveloppe et déroula le parchemin et put lire :

Salutation, cher ami !
Nous avons reçu vôtre lettre de candidature.
Nous vous demandons maintenant de parler avec un officier de la guilde pour vous expliquez et s’entretenir avec vous.

Vous pourrez la trouver au palais de Thorin, elle vous attend à la taverne.

Merci de vôtre compréhension et à bientôt.
Le Cercle de l’Eveil

Kardel sorti sans attendre de sa chambre et se dirigea vers le tavernier pour régler la note. Il laissa quelque pièces et parti dans la direction du palais qu’il avait quitté il y a deux jours. Il revu l’artisan qui lui avait donné le livre et les outils, celui-ci le salua et lui fit signe de venir le voir. Kardel lui rendit son salue en arrivant à sa hauteur.

- Tiens fiston, c’est une recette qui te permettra de faire ta première arme. Entraine toi et revient me voir plus tard quand tu la connaîtras par cœur.
- Merci mon ami.

Kardel pris le petit livret et le mis dans son sac, il parti ensuite sur le chemin à travers la forêt. Il longea à nouveau le fleuve, et vit que les pécheurs étaient toujours là. Il se demandait si les nains étaient restés ainsi pendant les deux jours, attendant le même poison. Il marcha pendant un long moment puis la nuit vint remplacer le soleil, il était temps de trouver un refuge et de se reposer pour la nuit. Il se fréllat un passage entre les arbres et découvrit l’entrée d’une caverne.

Après avoir repoussé des loups sauvages voulant gouter à sa chair, il entra dans la caverne et entendit des petits cris, des couinements. Il reconnu tout de suite ces adversaires, des gobelins, des petites créatures vertes qui ne pense qu’a piller pour leurs cousins beaucoup plus massif et puisant, les orques. Kardel savait que si il ne les tuait pas tous, ils reviendraient en plus grand nombre. Il prit sa hache d’une main et sorti de l’autre une torche, il courut à la faible lumière de sa torche mais eu pas longtemps avant qu’ils le remarquent et commencèrent à courir vers lui. Il se remémora les conseils que son père lui avait dit pour les combattre, ne pas se fier à leur nombre. Alors qu’ils se rapprochaient, Kardel garda son sang froid et était en position pour recevoir l’assaut. Au tout dernier instant, il décrivit un arc de cercle avec sa hache et sa torche, l’effet fut dévastateur, les gobelins ne voyant pas leur cible bouger ce sont tous agglutiner et encercler leur proie. Mais grâce à son attaque Kardel n’en tua pas moins de quatre, éventré, se vidant de tous leurs fluides vitaux ainsi que leurs boyaux. Les trois guerriers qui avaient évité l’attaque se jetèrent des regards horrifiés voyant le nain au-dessus des cadavres de leur confères. Kardel n’hésita pas une seconde et lança la torche au visage d’un gobelin, aveuglé celui –ci s’effondra et percuta une pierre le tuant sur le coup. Les deux autres se ruèrent sur le nain, Kardel leva haut sa hache et l’abattit lorsque le gobelin se trouvait à porter. Puis se tourna vers le dernier qui essayait de le contourné, il le décapita d’un revers de hache alors que le gobelin leva son arme pour parer.

Le silence revint dans la petite caverne, le nain dégagea les cadavres et fit un petit feu pour se réchauffer, même s’il n’avait pas froid, et pour éloigner les bêtes qui peuvent roder la nuit. Il s’emmitoufla dans sa cape et s’endormit comme il put.
« Modifié: 24 mars 2010, 19:08:50 par Kardel »

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Re : l'histoire d'un nain
« Réponse #8 le: 24 octobre 2009, 19:16:50 »
Un léger rayon de soleil vint pénétrer l’obscurité de la caverne dans laquelle Kardel dormait encore. On pouvait encore sentir l’odeur des cadavres en pleine décomposition. Même le léger vent qui traversait la caverne ne suffisait pas à balayer l’odeur. Il rassembla rapidement ses affaires et repris la route qui le mènerai à l’entretien pour rentrer dans la confrérie. Il avait une sensation qu’il ne pouvait définir, il était à la fois excité et effrayé. Après de longues heures de marche, Kardel peut enfin voir la petite place avec la grande statue de Tharïn II.

 Il y régnait une bonne atmosphère des nains allaient à leur occupation, des marchants ambulant criaient pour appâter la foule. Il continua son chemin lorsque son regarde fut attirer à sa gauche près de l’étable, un étranger venait d’arriver, il aurait put passer inaperçu puisqu’il n’était pas plus grand qu’un nain, mais on pouvait trouver des trace d’une autosuffisance. En regardant un peux mieux, le nain put voir que ce n’était pas un mais une étrangère, une hobbitte pour tout dire, il reconnu la description qui était faite dans les livres de la bibliothèque du palais. Mais ce qu’il reconnu avant tout était la cape qu’elle portait les lettre C et E emmêlés.
Mais qui est donc cet personne ? Il n’y a qu’un moyen de savoir, je vais sans plus tarder à la taverne. Et il suivit la hobbitte qui vraisemblablement se dirigeait elle aussi à la taverne. Traversant le hall, Kardel put s’émerveiller à nouveaux devant les fresques des grandes batailles.

En entrant dans la taverne, le nain put voir que la hobbitte s’était déjà installer et avait devant elle deux pinte de bière. Kardel ne sachant pas quoi faire décida de ne plus attendre et s’approcha d’elle.


- Salutation, madame.

La hobbitte leva un œil et son visage s’éclaira.

- Mais bien le bonjour mon ami nain, que me veux tu ?
- Vous connaissez la confrérie « Le Cercle de l’Eveil »
- Ba et comment que j’connais ! J’m’appelle Gahia et je suppose que tu es Kardel, la nouvel recru ?
- Oui c’est moi.
- Bien assis-toi, l’invita la hobbitte prénommé Gahia. Alors juste une question, comment me trouve-tu ?
- Pardon ? … que…
- Ha ha ha ! je rigole mon petit, bon quand même dit moi, que cherche tu en voulant rentrer dans la confrérie.
- heu bien…euh… j’ai voulu entrer dans l’armée naine, mais jamais il ne pourront égalé l’enseignement de vétérans. Je veux que vous m’appreniez l’art de la guerre. Et aussi parce que j’ai promis de retrouver un être chère.

La hobbitte qui le regarda avec intérêt lui dit :

- Hum… ok ! viens je vais te présenter.
- Ah ! mais à qui ?
- A nôtre chef tient ! dit simplement Gahia.

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Re : l'histoire d'un nain
« Réponse #9 le: 15 novembre 2009, 14:48:03 »
Après un voyage sans encombre particulier, mis a part quelques chutes d nain. Le groupe s’arrêta devant une petite maison, deux garde étaient de chaque côté de la porte. En voyant la hobbitte, les deux hommes la saluèrent qui leur retournât. Elle mena Kardel dans la maison jusqu’à une porte ouvragé. Gahia frappa deux fois puis ouvrit la porte et fit signe à Kardel de rentrer. A l’intérieur, il y avait un grand bureau avec une énorme quantité de parchemins e tout genre dont un qu’il reconnu d’un simple coup d’œil, celui qu’il avait envoyé il y a deux jours. Un grand fauteuil se retourna pour lasser apparaître un hobbit.

- Bienvenue, cher ami nain !
- euh… Salut, fut tout ce que Kardel put répondre.
- Je me nomme Garton, et je suis le fondateur et dirigeant de cette confrérie. Mais revenons plutôt à toi, l’ami. J’ai étudier ta candidature qui m’a paru très personnel, c’est pourquoi j’ai souhaité de rencontrer avant tout. Dis moi plutôt, quelle est cette quête que tu parles dans ta lettre ?
- J’ai promis de maîtriser l’art de la guerre et plus que tout je dois retrouver mon père parti combattre Sauron à l’est.
- C’est quelque chose de très noble, sache que nous sommes tous les ennemis de Sauron et aussi je pense pouvoir t’aider pour ta première demande.

Soudain un bruit de pas se fit entendre, un grand homme, l’un des plus grand et plus musclé que le nain ai vu. Il portait une armure ouvragé et orné à la main, un travaille d’expert, à son côté pendait deux lame étincelantes. Il s’exprima d’une voie profonde :

- Salutation chef ! vous m’avez demander ?
- Oui, occupe toi de nôtre jeune recru, il se … enfin je crois qu’il vaut mieux qu’il se présente lui-même.

Tous les regards se tournèrent vers Kardel.

- Je me nomme Kardel, j’ai actuellement 17 printemps et je suis à la recherche de quelqu’un pouvant m’enseigner l’art de la guerre.
- Eh bien tu m’as trouvé, répondit l’homme après un moment, tu peux m’appelé Stilion et je t’entrainerai dur. Et tu près à souffrir ? à voir la mort en face ? parce que les orcs ne te feront pas de cadeau.
- Et comment, j’attendais ce moment avec impatience, dit il avec enthousiasme.
- Bien, c’est donc officiel. Tu es membre du Cercle de l’Eveil, jeune Kardel et je pense que vous devriez parti maintenant vous entraînez. Au revoir !
- Au revoir, chef, répondit en cœur Stilion et Gahia qui n’avait pas quitté le nain des yeux.
- A bientôt, dit simplement Kardel.
« Modifié: 05 janvier 2010, 16:00:54 par Kardel »

 


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