Un réveil bien difficile.
Février 1419 C.C - an 3019 du 3eme age.
05h19
Arodon.
Alors que je sortez de cette phase de sommeil que l’ont appelle paradoxal ( je préparé une tasse de thé a Tyrion qui se hâté d’achevé un dragon pendant que Glorom finissait le troisième tome du livre : ‘le mithril pour les nuls’ … mais c’est une autre histoire ) j'ouvrit un oeil, puis un second. Je subit soudainement une attaque olfactive.
Arodon : « Diantre ! ça puir ! mais quelle est cette odeur !?»
Une odeur de mauvais houblon mélangé a une puanteur d’orcs régné dans le smial. D’un bond, je saute de mon lit et je me dirige vers le couloir épée a la main. A peine après avoir ouvert la porte de la chambre, je vit là, allongé par terre, mon neveu Aro, étalé comme une crêpe sur le sol. Mon sang ne fit qu’un tour, je couru vers lui et lui asséna quelques claques.
Arodon : « Réveil toi mon garçon, que t est il arrivé ?!?!? »
Je remarqué alors qu’il avais les joues écarlate. Et qu’il aurais pu me tuer, rien qu’avec son haleine … je pensais « C’est donc de la que vient cette odeur ».
Aro : « Blurp ! »
Arodon : « Parfait, j’ai compris. Ce nigaud est encore aller boire je ne sais ou. »
Je le traîner alors jusqu'à la chambre d’ami, non sans peine.
Arodon : « Il a due boire des litres et des litres, il est plus lourd qu’un ours des landes ! »
Je tente a nouveau d’entrer en contact avec ce qu’il reste de lui : « Blurp ! » qu’il me répond a nouveau.
Je comprend alors qu’il a son compte. Je le met a l’aise et je quitte la chambre pour mettre la bouilloire sur le feu. Je le retrouverai cet après midi quant il aura dessaoulé.
Comme tout les samedi matin, mon ami Tyra arriva a l’heure. Après avoir avalé 2 tasses de thé et quelques gâteaux au miel de sa préparation, nous partons pour Bree pour affaire.
Nous arrivons a Bree et nous dirigeons a la taverne du Poney fringuant.
Je pousse la porte et j’entre.
« Prosper n’a pas l’air en forme » dit je a Tyra.
Celui ci acquiesça. Nob, qui se tiens a coté de Prosper, n’a pas l’air plus en forme.
Arodon : « Bonjour Prosper, comment va tu ? et toi Nob ? »
Prosper : « Un peu fatigué … »
Il se secoua la tête comme pour reprendre ses esprits.
Prosper : « Mes félicitations mon cher ! j’étais très étonné de votre absence hier soir »
Nob s’inclina.
Arodon : « Me félicité de quoi ? et toi, pourquoi te met tu a genou ? et ai je pour habitude de venir me pochtronné le soir à la taverne »
Prosper : « Bien sur que non, mais un évènement comme celui la est unique »
Arodon : « De quel évènement parler vous ? venez en au fait Prosper ! vous tourner autour du pot et vos paroles me donne la migraine, il est tôt et j’ai autre chose a faire que de bavardé d’affaires dont je n’ai pas connaissance »
Prosper vint alors de se rendre compte qu’il faisait ce qu’on appelle plus ou moins : une énorme gaffe. Il avais visiblement des informations que je n’avait pas. Il se racla la gorge et mis un petit coup de coude a Nob discrètement, comme pour lui demandé de tenir sa langue.
Prosper : « Rhemm, rhemm, euh … et bien oubliez tout mon cher ami, je ne suis pas bien réveillez »
Arodon : « allez vous recoucher ! cela vous évitera de me faire perdre mon temps. Et servez nous 2 thés Nob si vous en êtes capable. Et bien chaud »
Prosper et Nob s’éloignèrent en clopinant.
Nous nous asseyons a notre table habituel avec mon ami Tyra lorsqu’un citadin nous interpella :
Citadin : « Bonjour Arodon, bonjour Tyra »
Tyra lui fait un signe de tête. J’allais moi même le salué quand celui ci me dit :
Citadin : « Et mes félicitations Maître Arodon »
Voilà que ça recommence. Qu’est ce qu’ils ont tous a me félicité ?!
Arodon : « Vous aussi vous avez mal dormi ?! et bien voilà 15 pièces d’argent pour payer votre chambre et monter y immédiatement vous reposé avant que je me fâche réellement »
Le citadin leva les sourcils.
Citadin : « Il m’est avis que vous êtes fâché car vous n’avais pas été invité, mais cela ne sont pas mes affaires » Il se leva et se dirigea vers le bar quand je me levé pour le rattrapé par le bras :
Arodon : « Excusé moi mon cher, mais il s’avère que c’est moi qui ai besoin de repos. Je me suis levé trop tôt, a cause d’une odeur … mais j’ai surtout besoin de plus amples informations. Asseyez vous a notre table ». Il s’assis a coté de Tyra, moi face a eux.
Citadin : « Et bien visiblement il n’est aucunement question de votre invitation puisque vous n’avais l’air au courant de rien. »
Il continua :
Citadin : « Hier soir, votre neveu Aro est venu ici avec une armée de guerrier et guerrière, hommes, elfes, hobbits et nains dont certains de votre confrérie. Il revenais d’une grande bataille dans les hauts du nord. Certains étais blessé. Blessé mais joyeux. Et prompt au tonneau et a la pinte. S’en est suivi une grande fête. Les gens riais, buvais et chanter. Votre neveu a beaucoup bu. 24 pintes je croit. Pour sur, il encaisse mieux que moi. Puis j’ai remarqué qu’il s’adonné, comme a l’accoutumé, au jeu des claques musicales avec une jeune hobbit, vous savez ce jeu qui … »
Je l’interrompt alors.
Arodon : « Oui, je connais … continuez. Et allez au but »
Citadin ( un peu gêné ) : « Et bien la petite hobbit a fini par demandé la main de votre neveu, Aro. Et avec l’accord mutuel de votre neveu, de la petite hobbit, de Xymox ; chef de votre confrérie, Garthon ; un hobbit membre de la confrérie ‘Le Cercle de l’Eveil’ accompagnez de Naesse, de cette même confrérie : ils ont été unis.
Nob arriva a ce moment et posa le thé sur notre table. Il s’inclinant alors et, relevant la tête, me regarda avec un sourire. Lorsque son regard rencontra le mien : il me vit bouillir.
Il changea de ton et, de peur, pris la poudre s’escampette.
Je pris le verre dans ma main et le serra si fort qu’il se mit a chauffé et le thé ; a bouillir.
Tyra et le citadin regarder le verre avec la crainte que celui ci leur explose a la figure. Tyra me dit alors :
Tyra : « lâche ce verre. Je vais te ramené chez toi. Tu as besoin de t’entretenir avec ton neveu. Les affaires attendrons »
Sans sortir de l’auberge, celui ci fit appelle a son savoir pour me transporté illico au pas de ma porte.
Tyra : « Je retourne a Bree. Je te retrouve samedi prochain, comme d’habitude. »
Puis il se désintégra dans un mini tourbillon avant même que je puisse le saluer. Et m’excusé.
J’entré alors dans le couloir et me dirigé vers la chambre. L’odeur étais pestilentielle. Il étais toujours la, affalé sur le lit, les yeux a moitié ouvert et la langue pendante.
Je le tiré du lit, ce qui lui déplu fortement. Il râla. Je tiré sa main et je regardé ses doigts.
Aro : « Mais que se passe t il ? quelle heure il est ? Que cherche tu oncle Arodon ? »
Il avais vraiment une drôle de tête. Les yeux et les joues enflé et rouge pivoine.
Arodon : « Je cherche une alliance a ce qu’il paraît et l’heure je n’en ai que faire. Mais que se passe t il ? ahah. J’aimerai bien le savoir et tu va m’expliqué promptement. Et je ne suis pas d’humeur a tourné en bourrique. »
Il me regardé d’un air sot la bouche en cœur. A ce stade, je fit appelle a ma patience la plus profonde afin de pouvoir poursuivre.
Arodon : « Qu’as tu fait hier soir ? »
Il rassemblé alors ses esprits.
Aro : « … … Haut du nord … taverne … bataille …. Glorom … pinte … pinte … gifle … pinte … gifle … gifle … pinte … sommeil … »
L’effort fourni étais important. Alors je me décidé de lui apporté des éléments.
Arodon : « Tu as livré bataille ? avec la confrérie ? »
Aro : « Oui … »
Arodon : « Puis vous êtes aller à la taverne »
Aro : « Oui … »
Arodon : « Puis tu as bu. Tu as beaucoup bu »
Aro : « Oui … »
Arodon : « Oui, oui, oui mais ENSUITE !!??, rassemble tes esprits au plus vite, j’ai l’impression d’en savoir plus que toi, la pinte t’a rendu amnésique a ce point nom de dieu !? »
Aro : « Non … »
Arodon : « Oui, non, espèce de sot, explique moi cette histoire de mariage a Bree au Poney fringuant !!!! et vite ! »
Je le vit blanchir en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, son teint était livide. Il me regardé avec un étonnement mêlé de peur et de crainte. Ses souvenirs n’étais pas encore tout a fait revenu.
Aro : « Ma…rié ? »
Arodon : « Oui imbécile, ma-rié ! ».
Aro retrouva peu a peu ses esprits. Il se rappeler alors de la jeune hobbit au poney fringuant. Gahia. Puis il se mit a rire.
Aro : « Ahah, le mariage avec Gahia. Oui c’est comme cela qu’elle s’appelle je croit bien. Mais c’étais pour rire. »
Arodon : « Rire. Mais bien sur, tu ne pense qu’a cela. Imbécile, mais qu’est ce qui t’a pris ? Tu la connais a peine. Et a la taverne, quelle honte ! et sans cérémonie. Sans que tu ai pris le temps de me la présenter. Et la petite Suan ? elle n’avais pas émis le souhait de te demandé ta main ? et toi la sienne ? Et quel est ton prochain projet ? lui faire un enfant dans une rue sombre de Bree ? »
Aro : « Non rien de tout ça oncle Arodon. Je n’étais pas en possession de mes moyens. Et puis ce n’étais pas sérieux. »
Arodon : « Tu est un faible. L’alcool n’est qu’une excuse. Et tu n’a pas répondu a mes questions. »
Aro : « je ne sait pas ce qu’il m’a pris. Je ne la connaît pas effectivement. Il n y avais rien de solennel, c’étais une parodie de mariage. C’étais amusant. Tu le dit toi même mon oncle, la taverne n’est pas une mairie. Et Suan ne m’a jamais ouvertement demandé ma main. Ni moi ouvertement la sienne. Et puis j’ai entendu parler de se Lotroc ... C’étais un jeu. Vraiment. Je n’aurai pas due. »
Arodon : « Le mariage, l’amour, un jeu ?! … Si ta mère étais encore de ce monde alors elle prendrai le temps de t’en expliqué les règles si tant est qu’elle soit d’accord sur le fait que s’en est un. En attendant ce n’est pas mon avis. Et je n’ai pas de temps a t’accordé, j’ai déjà bien du mal a géré mes propres affaires et a oublié Perianne. Que compte tu faire maintenant nigaud ? »
Aro : « … »
Arodon : « Tu ne sait pas hein ? Que dirait tu d’un mariage avec un orc ? ou un balrog ? Avec un petit warg en guise de petit chien-chien a sa maison ? Et bien moi je sait ce que tu va faire maintenant. Dans un premier temps tu va aller prendre un bain et te lavé abondamment la bouche. Tu tuerai le nécromancien d’un souffle avec une haleine pareil. Ensuite nous prendrons le thé, et si tes esprits se décident a nous rejoindre, nous discuterons de tout ça. Va donc te rafraîchir ».
Je décidé pendant ce temps de mettre la bouilloire sur le feu et d’écrire un courrier a mon chef Xymox afin de lui demandé de m’apporté des précisions. A cet instant Tyra entra.
Tyra : « j’ai cru bon d’aller aux informations cher Arodon. Je suis repassé par Bree. Aucune union officielle n’est inscrit au registre de la mairie. »
Arodon : « Parfait. Si vous voulez bien me rendre un dernier service, après quoi je vous libérerai, aller faire un tour a la mairie de Grandcave et faite de même. »
Tyra caressa le parquet pour finir par se désintégré de nouveau sous mes yeux. Pouf !
Arodon sortais de la douche et vint s’asseoir a la table du salon. Je rassemblé mes esprits et mon calme.
Arodon : « Bien. Alors mon garçon. Sache que je ne m’oppose pas a cette union mais plutôt a ce mariage factice ou a cette parodie de mariage, comme tu l’as dit toi même. Si tu aime cette Gahia, alors la cérémonie doit être des plus belles. Et en comté, a la mairie de grandcave. Pas chez Prosper un soir de beuverie. Et tu doit être clair avec la belle Suan, tout cela est trop ambiguë. La façon dont tu gère tes affaires avec les dames ne me plait point. Te faire séduire au jeu des claques musicales ?! en voilà des façons. »
Aro : « Oncle Arodon, je te répète que je ne sait pas si j’aime cette Gahia, pour la simple raison que je ne la connais pas. J’étais ivre et je ne sait pas ce que je faisait. Je m’amusais. »
Arodon : « Aujourd’hui tu ne l’est plus. Et te voilà face a tes responsabilités. Suffit de s’amusé. Alors tu va aller trouver cette Gahia et t’expliqué avec elle. Et tu ira voir Suan aussi.»
Aro : « Suan est en vacances, a Bourg de touque je croit. Je ne pense pas qu’elle souhaite être dérangé »
Arodon : « Tu attendra son retour. Mais avant cela, tu te charge de trouver et de t’expliqué avec Gahia. Tu imagine que si cette jeune hobbit est folle amoureuse de toi, elle va être dans un état de tristesse profonde. Par ta faute.»
Aro : « Je m’en veux. Je n’aurais pas du boire autant. Mais après la bataille, la joie de me retrouvé avec mes bons compagnons, Jean, Gordrimm, Glorom, Hanwen, Xym … »
Arodon : « Ca va, je les connais, tu ne va pas tous me les cités. Et cesse de t’apitoyé. Va donc réparé tes erreurs ou alors me préparé un mariage digne de ce nom. Tu est encore un enfant. Pour toi la vie est un jeu, une plaisanterie. Tu doit grandir Aro ou alors il t’arrivera bien des histoires. »
Aro se leva, l’air bête, triste et confus. Il respira un grand coup, pris sa cape et son chapeau, son arc aussi, puis sorti en refermant la porte doucement sans se retourné.
Arodon : « Et bien je croit bien qu’un peu d’exercice me changerai les idées. »
J’aller partir pour me rendre dans la Moria quand Tyra entra de nouveau.
Tyra : « Rien non plus a Grandcave. Je file dans la Moria, on m’attend a la 21eme.»
Arodon : « Heureux hasard, je doit m’y rendre également »
J’arrivais donc en compagnie de Tyra qui parti rejoindre les lignes du nord et je croisé par hasard les compagnons Linefrond et Epicia.
Il me proposèrent d’aller faire un tour du coté du cellier putride, un problème avec des roues a eaux. Je n’ai pas très bien compris mais j’accepté de les suivrent. En espérant, a mon retour, avoir des nouvelles d’Aro.
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Désolé pour les fautes, les temps, les verbes, etc ... C'est mon premier essai a l'écriture RP :p
